S’exprimant depuis la tribune du Palais Toumaï, il a qualifié la décentralisation non seulement de réponse à une aspiration populaire, mais aussi de « puissant levier de développement à la base ». Selon lui, cette réforme vise à confier aux collectivités locales un rôle plus actif dans la planification et la mise en œuvre des projets, afin de mieux répondre aux besoins concrets des populations.
« La mise en œuvre de la décentralisation ne sera pas seulement un engagement tenu, elle représentera une nouvelle façon de gouverner, plus proche, plus efficace et plus équitable », a-t-il déclaré.
Le Chef de l’État a précisé que cette démarche s’inscrit dans une vision globale de modernisation de l’administration publique. Elle devra aller de pair avec une gestion rationnelle des ressources, un suivi rigoureux des projets et un renforcement des capacités des administrations locales.
En invitant les membres du Gouvernement à intégrer le travail de terrain dans leur action quotidienne, il entend instaurer une dynamique participative, où chaque citoyen pourra contribuer à façonner les priorités de développement de sa région.
Cette orientation intervient dans un contexte où les disparités territoriales restent importantes, avec des zones rurales souvent délaissées en matière d’infrastructures, d’accès à l’eau potable, à l’électricité, aux soins de santé et à l’éducation. Pour le Président, la décentralisation est l’outil qui permettra de réduire ces écarts et de bâtir un Tchad plus équilibré et inclusif.
« Nous voulons rapprocher la décision publique des citoyens et favoriser le développement local. C’est ainsi que nous consoliderons la paix et la cohésion nationale », a-t-il conclu.
« La mise en œuvre de la décentralisation ne sera pas seulement un engagement tenu, elle représentera une nouvelle façon de gouverner, plus proche, plus efficace et plus équitable », a-t-il déclaré.
Le Chef de l’État a précisé que cette démarche s’inscrit dans une vision globale de modernisation de l’administration publique. Elle devra aller de pair avec une gestion rationnelle des ressources, un suivi rigoureux des projets et un renforcement des capacités des administrations locales.
En invitant les membres du Gouvernement à intégrer le travail de terrain dans leur action quotidienne, il entend instaurer une dynamique participative, où chaque citoyen pourra contribuer à façonner les priorités de développement de sa région.
Cette orientation intervient dans un contexte où les disparités territoriales restent importantes, avec des zones rurales souvent délaissées en matière d’infrastructures, d’accès à l’eau potable, à l’électricité, aux soins de santé et à l’éducation. Pour le Président, la décentralisation est l’outil qui permettra de réduire ces écarts et de bâtir un Tchad plus équilibré et inclusif.
« Nous voulons rapprocher la décision publique des citoyens et favoriser le développement local. C’est ainsi que nous consoliderons la paix et la cohésion nationale », a-t-il conclu.