Parmi les intervenants, Béral Mbaïkoubou, conseiller national, a souligné l'importance de l'éducation nationale dans le façonnement de nos différentes cultures. Selon lui, sans une éducation adéquate, le pays restera divisé et aura du mal à progresser.
De son côté, Brahim Ben Seid, conseiller national, a exprimé sa préoccupation quant à la situation des étudiants et a appelé à rétablir les bourses d'études. Il a également souligné la nécessité de contrôler la qualité des enseignants, en insistant sur le fait que certains d'entre eux ne maîtrisent ni l'arabe ni le français, malgré leur statut d'enseignant. Il a suggéré la mise en place de tests pour évaluer les compétences des enseignants et a plaidé en faveur de l'introduction de mesures disciplinaires lorsque cela est nécessaire.
Yacine Abdraman Sakine, autre conseiller national, a fait référence à la réussite de Moussa Faki Mahamat, compatriote tchadien qui s'exprime avec aisance dans trois langues devant le monde entier. Il a cependant souligné un complexe inexplicable au niveau national, où les langues et les connaissances sont confondues. Il a exprimé sa confusion quant à la direction que le pays souhaite prendre en matière d'éducation et a fait part des défis auxquels notre système éducatif est confronté.
Cette séance plénière a mis en lumière les préoccupations majeures relatives à l'éducation au Tchad. Le ministre Dr. Tom Erdimi a assuré de la volonté commune de trouver des solutions mais a évoqué le manque de moyens et d'accompagnement politique.
De son côté, Brahim Ben Seid, conseiller national, a exprimé sa préoccupation quant à la situation des étudiants et a appelé à rétablir les bourses d'études. Il a également souligné la nécessité de contrôler la qualité des enseignants, en insistant sur le fait que certains d'entre eux ne maîtrisent ni l'arabe ni le français, malgré leur statut d'enseignant. Il a suggéré la mise en place de tests pour évaluer les compétences des enseignants et a plaidé en faveur de l'introduction de mesures disciplinaires lorsque cela est nécessaire.
Yacine Abdraman Sakine, autre conseiller national, a fait référence à la réussite de Moussa Faki Mahamat, compatriote tchadien qui s'exprime avec aisance dans trois langues devant le monde entier. Il a cependant souligné un complexe inexplicable au niveau national, où les langues et les connaissances sont confondues. Il a exprimé sa confusion quant à la direction que le pays souhaite prendre en matière d'éducation et a fait part des défis auxquels notre système éducatif est confronté.
Cette séance plénière a mis en lumière les préoccupations majeures relatives à l'éducation au Tchad. Le ministre Dr. Tom Erdimi a assuré de la volonté commune de trouver des solutions mais a évoqué le manque de moyens et d'accompagnement politique.