“Lorsqu’on va jouer au football ou au basketball, les règles sont définies à l’avance, il n’appartient pas à l’arbitre de dire comment il va résoudre le problème. Le vote sera fait comment ? Si on ne le dit pas, comment le président du Présidium va décider ? En cas de non consensus, il peut être procédé au vote à main levée. Les règles, il faut les préciser avant que l’arbitre n’entre sur le terrain”, relève Dr. Haroun Kabadi.
Dr. Kassiré Coumakoye estime que l'agitation ne sert à rien : "vous vous agitez pour rien. Mais je vous pardonne car ça fait partie de l’ignorance intellectuelle".
Pour le politico-militaire Mahamat Assileck Halata, la proposition de Dr. Kabadi vise à pister les participants. "Laissez le choix de bulletin à vote secret. Nous sommes en démocratie", dit-il.
Le politico-militaire Mahamat Egrey, secrétaire générale du mouvement UFR, renchérit en demandant "l'expulsion" de Dr. Haroun Kabadi. "Normalement, il n'a pas le droit d'être dans cette salle (...) Ce sont les mêmes scénarios", relève-t-il.
Un autre participant affirme que "nous ne sommes pas dans une assemblée pour voter à bulletin secret".
Pour de nombreux participants, le risque du vote à main levée est qu'il permette à la majorité d'un même camp d'avaliser sans difficultés les résolutions en sa faveur. Au 2ème forum national inclusif, un participant rappelle que le vote ressemblait beaucoup plus à un système d'acclamation à main levée ; "autrement dit, le groupe qui fait le plus de bruit avalise une résolution comme une lettre à poster".
Dr. Kassiré Coumakoye estime que l'agitation ne sert à rien : "vous vous agitez pour rien. Mais je vous pardonne car ça fait partie de l’ignorance intellectuelle".
Pour le politico-militaire Mahamat Assileck Halata, la proposition de Dr. Kabadi vise à pister les participants. "Laissez le choix de bulletin à vote secret. Nous sommes en démocratie", dit-il.
Le politico-militaire Mahamat Egrey, secrétaire générale du mouvement UFR, renchérit en demandant "l'expulsion" de Dr. Haroun Kabadi. "Normalement, il n'a pas le droit d'être dans cette salle (...) Ce sont les mêmes scénarios", relève-t-il.
Un autre participant affirme que "nous ne sommes pas dans une assemblée pour voter à bulletin secret".
Pour de nombreux participants, le risque du vote à main levée est qu'il permette à la majorité d'un même camp d'avaliser sans difficultés les résolutions en sa faveur. Au 2ème forum national inclusif, un participant rappelle que le vote ressemblait beaucoup plus à un système d'acclamation à main levée ; "autrement dit, le groupe qui fait le plus de bruit avalise une résolution comme une lettre à poster".