POINT DE VUE

Le président Alpha Condé accuse le Sénégal, le BRDS répond


Alwihda Info | Par - 12 Septembre 2011



soyez moins ingrat envers le enegal qui a toujours ete un pays frere de la Guinee. Souvenez vous, lorsque vous vous etiez retranche dans l'ambassade du Senegal en Guinee pendant 45 jours. N'aviez vous pas ete exfiltre a bord de l'avion du president Abdou Diouf qui ne respectait que le droit humanitaire ?     regret et consternation les propos du Président Alpha Condé contre le pays de la Téranga. Il suffit de connaitre le nombre de Guinéens vivant au Sénégal et d'apprécier les relations séculaires qui existent entre nos deux pays, pour rejeter en bloc, ces attaques qui ne reflètent pas l'image que nos concitoyens ont de ce merveilleux pays. Le Président Wade ne s'est-il pas déplacé pour l'investiture et à d'autres occasions en Guinée afin d'aider à régler nos différents politiques dans la paix et la concorde nationale? Combien de personnalités sénégalaises appartenant à des institutions de la République ou étrangères se sont impliquées dans l'élection présidentielle guinéenne du 30 juin 2010, la reforme de notre armée, etc.? Le Sénégal est un pays frère qui a le souci de la stabilité de la sous-région et qui œuvre inlassablement pour la construction des grands ensembles africains.   "J'ai clairement dit au ministre (sénégalais des Affaires étrangères) Madické Niang et au ministre des Affaires étrangères de Gambie que j'estime (...) que les choses ont été préparées à l'hôtel (Méridien) Président à Dakar et qu'il y a des va-et-vient en Gambie et que j'estime cela ne pouvait pas se faire à leur insu", a-t-il déclaré. "Je pense qu'il y a la complicité du gouvernement sénégalais comme du gouvernement gambien, même s'ils disent qu'ils ont manqué de vigilance", a-t-il accusé.  Il a affirmé avoir avisé l'ambassade de France à Conakry et certains pays amis des préparatifs de cet attentat.    Paris a adressé jeudi un sévère rappel à l'ordre au président guinéen Alpha Condé en lui demandant de ne pas entraver la liberté de la presse et d'organiser rapidement des élections législatives, après l'attaque sur sa résidence, mardi 19 juillet. « La France réprouve l’interdiction faite à tout média national d’évoquer l’attentat contre le chef de l'État ou d’organiser des émissions interactives à caractère politique », a annoncé jeudi le porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, Bernard Valero. Une déclaration qui sonne comme un sévère rappel à l'ordre à l’intention du président guinéen Alpha Condé, l'ancien opposant historique élu démocratiquement fin 2010 et dont la résidence a été visée par une attaque dans la nuit de lundi 18 au mardi 19 juillet. Suite à cette attaque, le Conseil national de la Communication (CNC) a ordonné mercredi « la suspension temporaire de toute émission ou de tout article relatif à l’attentat contre la vie du chef de l’État, ainsi que [de] toute émission interactive à caractère politique en français et dans toutes les langues nationales sur toute l’étendue du territoire ». « Cette interdiction constitue une atteinte grave à la liberté d’expression et nous demandons au président Condé de reconsidérer cette décision en sa qualité de garant des libertés en Guinée », a insisté Bernard Valéro. « L'attentat contre le président Condé ne doit pas justifier des restrictions aux libertés fondamentales », a-t-il affirmé. Appel à l'organisation de législatives "dans les meilleurs délais" Après l’attaque, la France avait exprimé son soutien au président guinéen, mais avait laissé poindre son inquiétude quant au retard pris dans l'organisation d'élections législatives, qui risque d'entraîner une détérioration du climat politique. « Comme le président Condé s'y est lui-même engagé, l'organisation dans les meilleurs délais d'élections législatives libres, transparentes et apaisées doit figurer parmi les priorités des autorités guinéennes au même titre que la réconciliation et le dialogue entre les communautés », a répété jeudi Bernard Valero. De son côté, l'organisation Reporters sans frontières (RSF) a publié jeudi un rapport dans lequel elle recommande au chef de l’État guinéen « d'affirmer publiquement son attachement à la liberté de la presse et au respect du pluralisme des médias ». Elle déplore que trois lois favorables à la liberté de la presse « ne soient toujours pas appliquées », et juge que le bilan en la matière du Niger, qui est également sorti récemment d’une période de transition conduite par les militaires, « est beaucoup plus positif ».     Toujours et toujours la meme chanson, ça rappelle le fameux complot de Sekou et l'acharnement de ces derniers sur l'ethnie peulh et la tuerie qqui s'en est suivie   RETROUSSE TES MANCHES ET MET TOI AU BOULOT AULIEU DE RECHERCHER DES COMPLOTEURS A TOUT BOUT DE CHAMPS A LA SEKOU TOURE. LA GUINEE A TOUT POUR REUSSIR( IL LUI MANQUE TOUJOURS UN PRESIDENT COMPETANT) .CONDE N AS PAS ENCORE ENTAME UN SEUL GRAND PROJET JE CROIS QUE MES FRERES GUINEENS SE SONT TROMPES. IL RESEMBLE A UNE FEMME QUI CHERCHE A LIQUIDER SES COEPOUSES PLUTOT QUE DE S·OCCUPER DE SON MARI . TCHIMMMMMMMMMMMM C·EST UN PRESIDENT SOUS L ARBRE A PALABRE.

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