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Réconciliation au Tchad : retour au pays de quatre activistes
Une délégation de quatre opposants et activistes tchadiens vivant en exil, composée de Makaila Nguebla, Abel Maïna, Habib Ben et Hisseine Dagga Tahirou, a regagné ce dimanche N'Djamena en provenance de Paris. Ils ont été accueillis au pavillon d'honneur par le secrétaire d'État au Dialogue et à la Réconciliation nationale, Katnaguar Aimé, et le conseiller au CNT, Bedeï Toulloumi.
Au cours d'une conférence de presse, Makaïla Nguebla a expliqué que la parole donnée par le président du Conseil militaire de transition (CMT) permet de croire en la volonté politique qui l'anime.
Le secrétaire d'État au Dialogue et à la Réconciliation nationale, Katnaguar Aimé, lance un vibrant appel aux compatriotes qui hésitent encore, à emboiter le pas.
De nombreux citoyens se sont mobilisés à l'aéroport pour les accueillir.
Makaïla Nguebla, Abel Maïna et d'autres opposants ont été reçus par le président du Conseil militaire de transition (CMT), Mahamat Idriss Deby, le 14 novembre à Paris. Après des années de lutte, ils ont été sollicités pour rentrer au pays dans le cadre de la réconciliation nationale et ont exprimé plusieurs préoccupations, notamment sécuritaires. Le PCMT "nous a rassuré", indique Makaïla Nguebla.
Au cours d'une conférence de presse, Makaïla Nguebla a expliqué que la parole donnée par le président du Conseil militaire de transition (CMT) permet de croire en la volonté politique qui l'anime.
Le secrétaire d'État au Dialogue et à la Réconciliation nationale, Katnaguar Aimé, lance un vibrant appel aux compatriotes qui hésitent encore, à emboiter le pas.
De nombreux citoyens se sont mobilisés à l'aéroport pour les accueillir.
Makaïla Nguebla, Abel Maïna et d'autres opposants ont été reçus par le président du Conseil militaire de transition (CMT), Mahamat Idriss Deby, le 14 novembre à Paris. Après des années de lutte, ils ont été sollicités pour rentrer au pays dans le cadre de la réconciliation nationale et ont exprimé plusieurs préoccupations, notamment sécuritaires. Le PCMT "nous a rassuré", indique Makaïla Nguebla.
