Cette organisation se donne pour mission de soutenir les services publics chargés de la protection de l’environnement à travers la formation, la vulgarisation et la sensibilisation. Ses objectifs majeurs incluent :
« Notre objectif est simple mais ambitieux : faire du citoyen un acteur actif de la protection de l’environnement et de la lutte contre les effets du changement climatique », a-t-il affirmé.
Parmi les actions phares annoncées figurent :
Le président de l’AHEC a rappelé que la protection de l’environnement est un devoir collectif, citant l’article 51 de la Constitution tchadienne : « Toute personne a droit à un environnement sain ». Il a appelé à une mobilisation de toutes les composantes de la société — citoyens, institutions, partenaires — pour bâtir un Tchad plus résilient face au changement climatique.
Un hommage particulier a été rendu aux membres fondateurs de l’association, ainsi qu’au comité d’organisation.
Prenant la parole au nom du ministère, M. Hakim Djibril a souligné que la protection de l’environnement figure parmi les plus grands défis du Tchad, en raison de ses effets néfastes sur l’agriculture et l’élevage, piliers de l’économie rurale.
Il a plaidé pour une approche multisectorielle, intégrant les aspects territoriaux, politiques, financiers et thématiques, afin de renforcer la gouvernance environnementale à tous les niveaux.
« Sans amour du pays, il n’y a pas de justice pour la nature », a-t-il déclaré, saluant le rôle de l’AHEC et remerciant les partenaires techniques et financiers pour leur appui multiforme au gouvernement.
Avec la naissance de l’AHEC, le Tchad ouvre une nouvelle page dans sa lutte pour la préservation de l’environnement, en plaçant le citoyen au cœur du changement, pour un avenir plus vert, plus juste et plus durable.
- La promotion de la protection de l’environnement sous toutes ses formes ;
- L’appui aux structures étatiques dans leurs missions environnementales ;
- L’amélioration des conditions de vie des populations rurales et urbaines ;
- La promotion de l’approche genre dans les domaines de l’environnement et du climat.
« Notre objectif est simple mais ambitieux : faire du citoyen un acteur actif de la protection de l’environnement et de la lutte contre les effets du changement climatique », a-t-il affirmé.
Parmi les actions phares annoncées figurent :
- La protection de la nature dans les quartiers et établissements scolaires ;
- Des campagnes de reboisement et de gestion durable des ressources naturelles ;
- Des campagnes de sensibilisation sur les risques environnementaux ;
- Le plaidoyer auprès des décideurs nationaux et internationaux.
Le président de l’AHEC a rappelé que la protection de l’environnement est un devoir collectif, citant l’article 51 de la Constitution tchadienne : « Toute personne a droit à un environnement sain ». Il a appelé à une mobilisation de toutes les composantes de la société — citoyens, institutions, partenaires — pour bâtir un Tchad plus résilient face au changement climatique.
Un hommage particulier a été rendu aux membres fondateurs de l’association, ainsi qu’au comité d’organisation.
Prenant la parole au nom du ministère, M. Hakim Djibril a souligné que la protection de l’environnement figure parmi les plus grands défis du Tchad, en raison de ses effets néfastes sur l’agriculture et l’élevage, piliers de l’économie rurale.
Il a plaidé pour une approche multisectorielle, intégrant les aspects territoriaux, politiques, financiers et thématiques, afin de renforcer la gouvernance environnementale à tous les niveaux.
« Sans amour du pays, il n’y a pas de justice pour la nature », a-t-il déclaré, saluant le rôle de l’AHEC et remerciant les partenaires techniques et financiers pour leur appui multiforme au gouvernement.
Avec la naissance de l’AHEC, le Tchad ouvre une nouvelle page dans sa lutte pour la préservation de l’environnement, en plaçant le citoyen au cœur du changement, pour un avenir plus vert, plus juste et plus durable.