Les plastiques et autres matières non biodégradables prolifèrent dans la ville. Dans les quartiers, une pratique d’incivisme à ciel ouvert est visible.
Les ordures sont déposées dans les rues, et bien que certaines bouteilles vides en plastique, soient récupérées par des individus pour d’autres usages, cela est loin de constituer une véritable solution à la réduction des matières non biodégradables.
Les bouteilles en plastique, appelées « tangui », ou les sacs plastiques, connus sous le nom de « léda », sont des matières qui polluent l’environnement. À N'Djamena, après utilisation, ces bouteilles sont jetées à même le sol par les usagers, sans égard pour les conditions d’hygiène. Utilisées principalement pour conserver de l’eau ou des jus de fruits, elles deviennent ensuite une source d’insalubrité pour la ville.
En raison de leur non-biodégradabilité, ces déchets représentent un véritable défi pour l’environnement. Jetés un peu partout, ces plastiques finissent dans les caniveaux, où ils bloquent le passage des eaux. De l’incivisme citoyen au manque de prise de conscience collective, il devient urgent de promouvoir l’éducation à la citoyenneté.
Face à ces dérives, il est nécessaire de rééduquer la population sur l’assainissement de l’environnement, et le respect des règles d’hygiène. Les parents doivent inculquer à leurs enfants, dès leur plus jeune âge, l’importance de préserver leur espace vital, au-delà du cadre familial.
L’hygiène et la protection de l'environnement devraient être un réflexe pour chaque citoyen. L'État doit également trouver des moyens de recycler ces plastiques pour répondre à d’autres besoins.
En effet, sous l’effet du vent, ces plastiques se dispersent dans les quartiers et s’accumulent dans les caniveaux, aggravant ainsi leur obstruction. Cette situation mérite une réflexion sérieuse, car elle touche à l’intérêt collectif.
Les ordures sont déposées dans les rues, et bien que certaines bouteilles vides en plastique, soient récupérées par des individus pour d’autres usages, cela est loin de constituer une véritable solution à la réduction des matières non biodégradables.
Les bouteilles en plastique, appelées « tangui », ou les sacs plastiques, connus sous le nom de « léda », sont des matières qui polluent l’environnement. À N'Djamena, après utilisation, ces bouteilles sont jetées à même le sol par les usagers, sans égard pour les conditions d’hygiène. Utilisées principalement pour conserver de l’eau ou des jus de fruits, elles deviennent ensuite une source d’insalubrité pour la ville.
En raison de leur non-biodégradabilité, ces déchets représentent un véritable défi pour l’environnement. Jetés un peu partout, ces plastiques finissent dans les caniveaux, où ils bloquent le passage des eaux. De l’incivisme citoyen au manque de prise de conscience collective, il devient urgent de promouvoir l’éducation à la citoyenneté.
Face à ces dérives, il est nécessaire de rééduquer la population sur l’assainissement de l’environnement, et le respect des règles d’hygiène. Les parents doivent inculquer à leurs enfants, dès leur plus jeune âge, l’importance de préserver leur espace vital, au-delà du cadre familial.
L’hygiène et la protection de l'environnement devraient être un réflexe pour chaque citoyen. L'État doit également trouver des moyens de recycler ces plastiques pour répondre à d’autres besoins.
En effet, sous l’effet du vent, ces plastiques se dispersent dans les quartiers et s’accumulent dans les caniveaux, aggravant ainsi leur obstruction. Cette situation mérite une réflexion sérieuse, car elle touche à l’intérêt collectif.