
Ce vol à main armée s'est déroulé entre deux villages dans la sous-préfecture de Moissala, une ville du sud du Tchad. Moissala est la capitale du département de Barh Sara dans la région du Mandoul. Le diplômé au chômage rentrait d'un lieu funéraire où il avait remorqué deux personnes derrière sa moto. Les assaillants l'ont intercepté devant une barrière improvisée pour l'occasion, avant de lui tirer dessus à bout portant. Deux balles ont mortellement touché sa poitrine.
Une enquête a été ouverte par le procureur de Moissala pour faire la lumière sur cet incident tragique. La victime était un licencié en philosophie en attente d'intégration, père de plusieurs enfants et marié à deux femmes dont la vie a été injustement fauchée à cause de sa moto.
L'insécurité prend des proportions inquiétantes non seulement à Ndjamena mais aussi dans les provinces ces derniers jours, où les officiers chargés d'assurer la sécurité sont impunément tués sur l'axe Ndjamena-Massaguet. Les résidents de Ndjamena se plaignent également de la prolifération des véhicules aux vitres teintées et aux fausses plaques d'immatriculation qui suivent les citoyens sans raison valable. Ces véhicules réussissent à passer nombreux postes de contrôle des forces de l'ordre sans être inquiétés.
Il est essentiel que les autorités prennent des mesures urgentes pour lutter contre cette insécurité croissante. La vie des citoyens doit être protégée, et il est impératif d'arrêter ces criminels et de les traduire en justice. Les familles du diplômé en philosophie et de toutes les autres victimes méritent justice et sécurité dans leur pays.
Une enquête a été ouverte par le procureur de Moissala pour faire la lumière sur cet incident tragique. La victime était un licencié en philosophie en attente d'intégration, père de plusieurs enfants et marié à deux femmes dont la vie a été injustement fauchée à cause de sa moto.
L'insécurité prend des proportions inquiétantes non seulement à Ndjamena mais aussi dans les provinces ces derniers jours, où les officiers chargés d'assurer la sécurité sont impunément tués sur l'axe Ndjamena-Massaguet. Les résidents de Ndjamena se plaignent également de la prolifération des véhicules aux vitres teintées et aux fausses plaques d'immatriculation qui suivent les citoyens sans raison valable. Ces véhicules réussissent à passer nombreux postes de contrôle des forces de l'ordre sans être inquiétés.
Il est essentiel que les autorités prennent des mesures urgentes pour lutter contre cette insécurité croissante. La vie des citoyens doit être protégée, et il est impératif d'arrêter ces criminels et de les traduire en justice. Les familles du diplômé en philosophie et de toutes les autres victimes méritent justice et sécurité dans leur pays.