Un vent de renouveau souffle sur la formation professionnelle au Tchad. À Sarh, plus de cinquante cadres et formateurs des centres techniques et professionnels du sud du pays se sont retrouvés dans le cadre d’un atelier stratégique, organisé par le Projet de Développement des Compétences pour l’Employabilité des Jeunes (PDCEJ), en partenariat avec le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de la Formation professionnelle, et avec l’appui financier de la Banque mondiale.
Au cœur de cette rencontre : une visite de terrain au chantier du nouveau Centre de Formation Technique et Professionnelle (CFTP) de Sarh, une infrastructure appelée à devenir un véritable levier d’employabilité pour plus de 1 200 jeunes dans les mois à venir. Érigé sur une superficie de 900 m², le CFTP de Sarh affiche une vision claire : préparer une nouvelle génération de techniciens qualifiés.
D’après Aldjim Rodrigue, contrôleur principal du chantier, l’infrastructure est organisée en cinq grands ensembles comprenant : un bâtiment administratif moderne, une infirmerie, une bibliothèque sept ateliers d’apprentissage dans des domaines porteurs : mécanique automobile, menuiserie, agroalimentaire, électricité bâtiment, soudure, génie civil, ainsi que de nombreuses salles de classe conçues pour accueillir jusqu’à 1 200 apprenants dans un environnement propice à l’apprentissage.
Le directeur du projet, Allaramadji Charlin, affirme que les travaux sont achevés à hauteur de 85 %. Malgré quelques retards logistiques, il salue la coopération fluide entre les entreprises locales impliquées. « Ce chantier est la preuve qu’une approche collaborative permet d’atteindre de grands objectifs, même dans un contexte complexe », déclare-t-il avec fierté.
Les participants à l’atelier, venus de Moundou, Doba, Koumra ou encore Pala, ont exprimé leur enthousiasme face à la qualité des infrastructures en cours de finalisation. Pour eux, ce centre de Sarh doit servir d’exemple à répliquer dans toutes les régions du pays.
Pour Gandjei Gali, directeur général adjoint de la Planification et des Projets au ministère, ce projet incarne la volonté politique du gouvernement tchadien de repositionner la formation professionnelle au cœur du développement national. Il a salué l’investissement de la Banque mondiale et rappelé que le développement passe nécessairement par une jeunesse bien formée, dotée de compétences techniques solides.
La finalisation prochaine du Centre de Formation Technique et Professionnelle de Sarh marque une étape cruciale. Elle confirme l’engagement du pays à offrir à sa jeunesse des outils concrets pour réussir, s’adapter au marché de l’emploi et contribuer activement à la construction du Tchad de demain.
Au cœur de cette rencontre : une visite de terrain au chantier du nouveau Centre de Formation Technique et Professionnelle (CFTP) de Sarh, une infrastructure appelée à devenir un véritable levier d’employabilité pour plus de 1 200 jeunes dans les mois à venir. Érigé sur une superficie de 900 m², le CFTP de Sarh affiche une vision claire : préparer une nouvelle génération de techniciens qualifiés.
D’après Aldjim Rodrigue, contrôleur principal du chantier, l’infrastructure est organisée en cinq grands ensembles comprenant : un bâtiment administratif moderne, une infirmerie, une bibliothèque sept ateliers d’apprentissage dans des domaines porteurs : mécanique automobile, menuiserie, agroalimentaire, électricité bâtiment, soudure, génie civil, ainsi que de nombreuses salles de classe conçues pour accueillir jusqu’à 1 200 apprenants dans un environnement propice à l’apprentissage.
Le directeur du projet, Allaramadji Charlin, affirme que les travaux sont achevés à hauteur de 85 %. Malgré quelques retards logistiques, il salue la coopération fluide entre les entreprises locales impliquées. « Ce chantier est la preuve qu’une approche collaborative permet d’atteindre de grands objectifs, même dans un contexte complexe », déclare-t-il avec fierté.
Les participants à l’atelier, venus de Moundou, Doba, Koumra ou encore Pala, ont exprimé leur enthousiasme face à la qualité des infrastructures en cours de finalisation. Pour eux, ce centre de Sarh doit servir d’exemple à répliquer dans toutes les régions du pays.
Pour Gandjei Gali, directeur général adjoint de la Planification et des Projets au ministère, ce projet incarne la volonté politique du gouvernement tchadien de repositionner la formation professionnelle au cœur du développement national. Il a salué l’investissement de la Banque mondiale et rappelé que le développement passe nécessairement par une jeunesse bien formée, dotée de compétences techniques solides.
La finalisation prochaine du Centre de Formation Technique et Professionnelle de Sarh marque une étape cruciale. Elle confirme l’engagement du pays à offrir à sa jeunesse des outils concrets pour réussir, s’adapter au marché de l’emploi et contribuer activement à la construction du Tchad de demain.