L’objectif de ce projet est de propulser le niveau d’accès des filles au système éducatif universitaire tchadien et favoriser leur maintien.
La chargée du projet, Tatomal Ramba Mabelle, a notifié que ce projet vise principalement les filles des lycées, des collèges et celles des instituts et universités de la ville de Sarh et par extension de la province du Moyen-Chari.
Elle a ajouté qu’à travers ce projet, le COPIDEV compte remonter la pente du niveau d’accès des filles au système éducatif universitaire tchadien. Ceci avec l’implication de tout un chacun.
Pour le représentant du coordonateur de COPIDEV, Djasngué Bienvenu, cette activité à audience large vise à briser les diverses barrières existantes afin de permettre d’accroître le taux d’inscription des filles dans les universités et sensibiliser plus de 10.000 parents d’élèves et étudiantes à travers des émissions radio et des plateformes Facebook sur les thématiques de la déperdition et la disparité en milieu universitaire.
À travers ce projet, deux clubs "Violences basées sur le genre" (VBG) vont être créés comme cadre d’expression des filles universitaires sur les VBG dans les deux structures d’enseignement supérieur à savoir l’Université de Sarh et l’Université Charles Lwanga. Ces filles vont être formées, équipées et accompagnées pendant un mois par le COPIDEV.
La chargée du projet, Tatomal Ramba Mabelle, a notifié que ce projet vise principalement les filles des lycées, des collèges et celles des instituts et universités de la ville de Sarh et par extension de la province du Moyen-Chari.
Elle a ajouté qu’à travers ce projet, le COPIDEV compte remonter la pente du niveau d’accès des filles au système éducatif universitaire tchadien. Ceci avec l’implication de tout un chacun.
Pour le représentant du coordonateur de COPIDEV, Djasngué Bienvenu, cette activité à audience large vise à briser les diverses barrières existantes afin de permettre d’accroître le taux d’inscription des filles dans les universités et sensibiliser plus de 10.000 parents d’élèves et étudiantes à travers des émissions radio et des plateformes Facebook sur les thématiques de la déperdition et la disparité en milieu universitaire.
À travers ce projet, deux clubs "Violences basées sur le genre" (VBG) vont être créés comme cadre d’expression des filles universitaires sur les VBG dans les deux structures d’enseignement supérieur à savoir l’Université de Sarh et l’Université Charles Lwanga. Ces filles vont être formées, équipées et accompagnées pendant un mois par le COPIDEV.