La dot est une pratique symbolique du mariage coutumier qui consiste pour la famille du fiancé, à offrir un ensemble de présents en espèces ou en nature à celle du fiancée, couronné par une cérémonie permettant d'unir les futurs mariés. Malheureusement, cette pratique engendre trop de dépenses du côté de la famille du fiancé.
C'est pourquoi beaucoup de jeunes, en manque de moyens, finissent leurs relations en queue de poisson, ou optent pour le concubinage. Ce que la religion condamne mais bon nombre de jeunes en milieu sudiste prennent la femme à « crédit ». Et après une stabilité financière, ils partent payer la dot. La cherté de la dot pousse les jeunes à ne pas respecter les procédures du mariage coutumier selon le rituel.
Pour régler cette dépense financière, les autorités, les chefs religieux et coutumiers doivent voter une loi fixant le prix de la dot. Ceux de la localité de Magalmé ont d’ailleurs fixé le prix de la dot, afin que chaque jeune désirant s'unir par le lien du mariage ne fasse pas trop des dépenses. Malheureusement, les voix se sont élevées pour dire que le mariage est un consentement.
Peut-on parler d'une union par consentement quand c'est la famille du fiancé qui fait trop de dépenses ? Selon le responsable de l'Eglise évangélique des frères, Nadjikoss Joël, lors de son enseignement sur l'engagement des fiançailles, « l'église ne doit pas garder son silence, car c'est Dieu qui a initié le mariage ». Au regard de la situation financière déplorable et le manque d'emplois pour les jeunes, la dot excessive fait obstacle au mariage. Une situation qui interpelle aussi la famille de la fiancée.
Pourtant, ce phénomène de dot avec un apport financier est interdit dans certains pays d'Afrique : l'on peut citer notamment la Côte d’Ivoire. Si la dot est symbolique, une modeste somme suffit pour unir les futurs époux.
C'est pourquoi beaucoup de jeunes, en manque de moyens, finissent leurs relations en queue de poisson, ou optent pour le concubinage. Ce que la religion condamne mais bon nombre de jeunes en milieu sudiste prennent la femme à « crédit ». Et après une stabilité financière, ils partent payer la dot. La cherté de la dot pousse les jeunes à ne pas respecter les procédures du mariage coutumier selon le rituel.
Pour régler cette dépense financière, les autorités, les chefs religieux et coutumiers doivent voter une loi fixant le prix de la dot. Ceux de la localité de Magalmé ont d’ailleurs fixé le prix de la dot, afin que chaque jeune désirant s'unir par le lien du mariage ne fasse pas trop des dépenses. Malheureusement, les voix se sont élevées pour dire que le mariage est un consentement.
Peut-on parler d'une union par consentement quand c'est la famille du fiancé qui fait trop de dépenses ? Selon le responsable de l'Eglise évangélique des frères, Nadjikoss Joël, lors de son enseignement sur l'engagement des fiançailles, « l'église ne doit pas garder son silence, car c'est Dieu qui a initié le mariage ». Au regard de la situation financière déplorable et le manque d'emplois pour les jeunes, la dot excessive fait obstacle au mariage. Une situation qui interpelle aussi la famille de la fiancée.
Pourtant, ce phénomène de dot avec un apport financier est interdit dans certains pays d'Afrique : l'on peut citer notamment la Côte d’Ivoire. Si la dot est symbolique, une modeste somme suffit pour unir les futurs époux.