« D'ailleurs, la thématique est en rapport avec sa future obligation de conscientisation », l'a prévenue son directeur des études, Ousmane Abakar Kori Mbami. Les découvertes qu'évoque Chanceline sont « la contraception hormonale, le préservatif féminin » qu'a aussi découverts Odjimbeye Orpha. Ces contraceptions sont de plusieurs ordres.
« Il y en a en injection, des implants, des dispositifs intra-utérins », énumère Sirh Allarangué, sage-femme de l’Association tchadienne pour le bien-être familial (ASTBEF). Les étudiants sont totalement émerveillés lorsque la sage-femme évoque « le norlevo ou pilule du lendemain », que prend la femme après le rapport sexuel susceptible de causer une grossesse. Les infections sexuellement transmissibles ont émerveillé autant les étudiants.
« Il y a des infections qui vous font accuser votre voisin de sorcellerie », révèle une autre volontaire de l'ASTBEF. Ce sont la crêpe de poule ou le zona qui font pousser respectivement une crêpe à l'anus, ou entraînent d'éruption de vésicules en grappes sur le corps.
Pour se mettre à l'abri de ces maladies, il faut éviter le "lam bé lam", ironise Mélom Adeline, président du MAJ. Le "lam bé lam", c'est le rapport sexuel non protégé que pratiquent beaucoup de personnes.
« Il y en a en injection, des implants, des dispositifs intra-utérins », énumère Sirh Allarangué, sage-femme de l’Association tchadienne pour le bien-être familial (ASTBEF). Les étudiants sont totalement émerveillés lorsque la sage-femme évoque « le norlevo ou pilule du lendemain », que prend la femme après le rapport sexuel susceptible de causer une grossesse. Les infections sexuellement transmissibles ont émerveillé autant les étudiants.
« Il y a des infections qui vous font accuser votre voisin de sorcellerie », révèle une autre volontaire de l'ASTBEF. Ce sont la crêpe de poule ou le zona qui font pousser respectivement une crêpe à l'anus, ou entraînent d'éruption de vésicules en grappes sur le corps.
Pour se mettre à l'abri de ces maladies, il faut éviter le "lam bé lam", ironise Mélom Adeline, président du MAJ. Le "lam bé lam", c'est le rapport sexuel non protégé que pratiquent beaucoup de personnes.