Le collectif se dit très surpris par le silence des autorités sur la "détention illégale" de ces deux jeunes.
Le porte parole dudit collectif, Me. Sidick Sougui Lony, par ailleurs président de l'UNJCP, indique que devant cette situation entretenue par certains individus, les organisations de la société civile, signataires de ce document, interpellent le gouvernement de transition afin de prendre ses responsabilités en vue de garantir l'équité et la justice à tout citoyen tchadien. Il estime que l'affaire de Ahmat Haroun Larry et Ibrahim Oumar, arrêtés après une violente rixe à N'Djamena, n'est pas le seul cas d'injustice.
"Le collectif donne 72 heures pour leur libération sans conditions, sinon il tient responsable le gouvernement et son lobby de tout ce qui en découlera" , conclut Me Sidick Sougui Lony.
Le porte parole dudit collectif, Me. Sidick Sougui Lony, par ailleurs président de l'UNJCP, indique que devant cette situation entretenue par certains individus, les organisations de la société civile, signataires de ce document, interpellent le gouvernement de transition afin de prendre ses responsabilités en vue de garantir l'équité et la justice à tout citoyen tchadien. Il estime que l'affaire de Ahmat Haroun Larry et Ibrahim Oumar, arrêtés après une violente rixe à N'Djamena, n'est pas le seul cas d'injustice.
"Le collectif donne 72 heures pour leur libération sans conditions, sinon il tient responsable le gouvernement et son lobby de tout ce qui en découlera" , conclut Me Sidick Sougui Lony.