Un des sujets de discussion a été le référendum, sur lequel Max Kemkoye du GCAP a exprimé ses préoccupations. Selon lui, la constitution régit la vie de l'État et de la Nation, et elle ne devrait pas être élaborée par des trafiquants politiques. Actuellement, la constitution est entre les mains d'un individu, et lorsqu'une décision est prise, elle peut être modifiée en cours de route, ce qui soulève des inquiétudes quant à sa légitimité.
Max Kemkoye a expliqué que selon la vision du GCAP, un président de transition n'a ni la compétence ni la qualité pour convoquer un référendum. La convocation d'un référendum relève du pouvoir constitutionnel d'un président démocratiquement élu. Pour lui, il est nécessaire de rétablir la constitution de 1996 pour permettre à un président démocratiquement élu d'exercer cette prérogative.
Il a également souligné qu'il y a deux types de pouvoir pour un président de la République : le pouvoir réglementaire et le pouvoir exceptionnel. Convoquer un référendum relève du pouvoir exceptionnel, et selon Max Kemkoye, Mahamat Idriss Deby, le président de transition, n'a pas ce pouvoir constitutionnel.
Max Kemkoye a rappelé que pour voter un référendum, une majorité qualifiée est nécessaire, ce qui va au-delà d'une simple majorité relative. Il a exprimé son désaccord quant à la tenue d'un référendum convoqué par le président de transition.
Les leaders politiques ont souligné leur engagement à lutter contre la tenue du référendum à partir de leurs plates-formes républicaines, affirmant qu'ils feront tout pour empêcher sa réalisation. Une position qui marque une résistance face aux décisions prises par le gouvernement actuel.
Max Kemkoye a expliqué que selon la vision du GCAP, un président de transition n'a ni la compétence ni la qualité pour convoquer un référendum. La convocation d'un référendum relève du pouvoir constitutionnel d'un président démocratiquement élu. Pour lui, il est nécessaire de rétablir la constitution de 1996 pour permettre à un président démocratiquement élu d'exercer cette prérogative.
Il a également souligné qu'il y a deux types de pouvoir pour un président de la République : le pouvoir réglementaire et le pouvoir exceptionnel. Convoquer un référendum relève du pouvoir exceptionnel, et selon Max Kemkoye, Mahamat Idriss Deby, le président de transition, n'a pas ce pouvoir constitutionnel.
Max Kemkoye a rappelé que pour voter un référendum, une majorité qualifiée est nécessaire, ce qui va au-delà d'une simple majorité relative. Il a exprimé son désaccord quant à la tenue d'un référendum convoqué par le président de transition.
Les leaders politiques ont souligné leur engagement à lutter contre la tenue du référendum à partir de leurs plates-formes républicaines, affirmant qu'ils feront tout pour empêcher sa réalisation. Une position qui marque une résistance face aux décisions prises par le gouvernement actuel.