Le ministre de la Sécurité publique, Souleyman Abakar Adam, a signé lundi un arrêté n° 76 autorisant la marche du parti "Les Transformateurs" et des associations de la société civile, de la LTDH, la CTDDH et l'UST pour vendredi 16 juillet 2021. L'itinéraire est modifié comme suit : Rond point Hamama au Palais du 15 janvier.
"Les Transformateurs", la LTDH, la CTDDH et l'UST font partie de la coordination d'actions citoyennes "Wakit Tamma" qui a initialement lancé un appel à manifester le 14 juillet pour "dénoncer la dévolution monarchique du pouvoir, la confiscation du pouvoir par le Conseil militaire de transition et les violations systématiques des droits humains".
C'est la première fois qu'une marche de ces organisations politiques et associatives est autorisée. La demande d'autorisation préalable a été déposée le 6 juillet. Deux membres de "Wakit Tamma", Me. Max Loalngar et Dr. Sitack Yombatinan, ont informé samedi dernier que le ministère de la Sécurité publique a été avisé, un travail commun a été fait sur la matérialité de la manifestation et le principe a été accepté.
"En cas de casses, vols, effractions, de toute autre infraction ou de débordements, les organisateurs seront tenus pour responsables devant les juridictions de la République", précise le ministère de la Sécurité publique.
"Les Transformateurs", la LTDH, la CTDDH et l'UST font partie de la coordination d'actions citoyennes "Wakit Tamma" qui a initialement lancé un appel à manifester le 14 juillet pour "dénoncer la dévolution monarchique du pouvoir, la confiscation du pouvoir par le Conseil militaire de transition et les violations systématiques des droits humains".
C'est la première fois qu'une marche de ces organisations politiques et associatives est autorisée. La demande d'autorisation préalable a été déposée le 6 juillet. Deux membres de "Wakit Tamma", Me. Max Loalngar et Dr. Sitack Yombatinan, ont informé samedi dernier que le ministère de la Sécurité publique a été avisé, un travail commun a été fait sur la matérialité de la manifestation et le principe a été accepté.
"En cas de casses, vols, effractions, de toute autre infraction ou de débordements, les organisateurs seront tenus pour responsables devant les juridictions de la République", précise le ministère de la Sécurité publique.
