Dans la ville de Ndjamena, les concitoyens partagent les trottoirs et carrefours avec les malades mentaux. Bien que certains ne soient pas dangereux, il est difficile de prévoir les actions que peut poser une personne en déficience mentale. Souvent, ces malades errants commettent des actes violents, scènes régulièrement observées dans certains lieux publics.
Malheureusement, tout laisse à penser que cette situation n'alarme pas les autorités. Incapables de gérer ces comportements étranges, les familles délaissent leurs proches, les abandonnant à la merci de la population. Le véritable problème réside dans le manque criant de prise en charge et de traitement pour les malades mentaux.
Ce problème est aggravé par l'absence de spécialistes, notamment de psychiatres et de psychocliniciens. Face à cette triste réalité, certains parents, soucieux de la santé mentale de leurs proches, se tournent vers des marabouts ou chefs religieux. Bien que certains malades retrouvent leur santé, d'autres n'ont pas cette chance.
Pour beaucoup de concitoyens, les troubles mentaux sont perçus comme étant liés aux esprits malveillants, une mauvaise interprétation qui pousse les familles à abandonner leurs proches dans la rue sans chercher de solution médicale. Or, selon la science, les maladies mentales sont souvent liées à des problèmes médicaux tels que des troubles neurologiques, des maladies cardiaques, ainsi que des problèmes sociaux comme la perte d'emploi ou des difficultés financières.
Malgré les nombreuses discussions, rencontres et sensibilisations sur la question de la maladie mentale, le chemin vers une solution reste long. Il est à déplorer l'absence de stratégies d'encadrement et de statistiques sur le phénomène.
Il est inquiétant que les autorités ne réagissent pas face à cette situation. Comment se fait-il qu'une grande ville comme Ndjamena ne dispose d'aucune structure d'accueil pour les malades mentaux ? Pour la sécurité de la population et la possibilité de soigner ces personnes en situation de déficience mentale, il est impératif que les autorités prennent des mesures.
Malheureusement, tout laisse à penser que cette situation n'alarme pas les autorités. Incapables de gérer ces comportements étranges, les familles délaissent leurs proches, les abandonnant à la merci de la population. Le véritable problème réside dans le manque criant de prise en charge et de traitement pour les malades mentaux.
Ce problème est aggravé par l'absence de spécialistes, notamment de psychiatres et de psychocliniciens. Face à cette triste réalité, certains parents, soucieux de la santé mentale de leurs proches, se tournent vers des marabouts ou chefs religieux. Bien que certains malades retrouvent leur santé, d'autres n'ont pas cette chance.
Pour beaucoup de concitoyens, les troubles mentaux sont perçus comme étant liés aux esprits malveillants, une mauvaise interprétation qui pousse les familles à abandonner leurs proches dans la rue sans chercher de solution médicale. Or, selon la science, les maladies mentales sont souvent liées à des problèmes médicaux tels que des troubles neurologiques, des maladies cardiaques, ainsi que des problèmes sociaux comme la perte d'emploi ou des difficultés financières.
Malgré les nombreuses discussions, rencontres et sensibilisations sur la question de la maladie mentale, le chemin vers une solution reste long. Il est à déplorer l'absence de stratégies d'encadrement et de statistiques sur le phénomène.
Il est inquiétant que les autorités ne réagissent pas face à cette situation. Comment se fait-il qu'une grande ville comme Ndjamena ne dispose d'aucune structure d'accueil pour les malades mentaux ? Pour la sécurité de la population et la possibilité de soigner ces personnes en situation de déficience mentale, il est impératif que les autorités prennent des mesures.