La nouvelle stratégie consiste en des patrouilles pédestres avec des relèves toutes les huit heures. Chaque commissariat devra être au moins responsable de la sécurité de la population environnante.
"Nous sommes en deçà du ratio. En principe, une ville comme N'Djamena, il faut un ratio d'un policier pour 5 habitants. Aujourd'hui, nous sommes à un policier pour plus de 160 habitants", a précisé le ministre.
"Aujourd'hui, N'Djamena c'est 2 millions d'habitants. Avec 17 commissariats de police et les effectifs actuels de la police, c'est pas évident. C'est pourquoi nous faisons appel aux gendarmes, aux gardes nomades. Quelques fois nous sommes obligés aussi de faire appel à l'armée pour qu'ils nous soutiennent dans le désarmement", a-t-il ajouté.
La police nationale a présenté 68 présumés malfaiteurs cette semaine, dans le cadre de ses opérations sécuritaires menées à N'Djamena et dans ses environs.
"Nous sommes en deçà du ratio. En principe, une ville comme N'Djamena, il faut un ratio d'un policier pour 5 habitants. Aujourd'hui, nous sommes à un policier pour plus de 160 habitants", a précisé le ministre.
"Aujourd'hui, N'Djamena c'est 2 millions d'habitants. Avec 17 commissariats de police et les effectifs actuels de la police, c'est pas évident. C'est pourquoi nous faisons appel aux gendarmes, aux gardes nomades. Quelques fois nous sommes obligés aussi de faire appel à l'armée pour qu'ils nous soutiennent dans le désarmement", a-t-il ajouté.
La police nationale a présenté 68 présumés malfaiteurs cette semaine, dans le cadre de ses opérations sécuritaires menées à N'Djamena et dans ses environs.