Depuis le 14 mai 2025, date des affrontements intercommunautaires tragiques à Mandakaou où plus de 40 personnes ont perdu la vie, de nombreuses familles ont quitté leurs maisons pour fuir cette violence, laissant ainsi des villages entiers vides.
Ce territoire est désormais vidé de ses habitants, et il est devenu très difficile de croiser une silhouette humaine. Seules quelques rares espèces animales osent encore s'aventurer dans cette région désertée.
En parcourant le canton, on constate avec tristesse des cases brûlées et pillées, laissant derrière elles un spectacle désolant. Actuellement, il ne reste que quelques personnes âgées dans le village de Mandakao, qui, pour des raisons de santé ou d'attachement à leur terre, ont décidé de ne pas quitter leurs foyers.
Ces individus vulnérables se sont réfugiés dans le domicile du chef de canton, où ils se sentent en sécurité, mais leur condition reste précaire. Ils expriment une peur constante de sortir, craignant pour leur vie en raison de la présence de personnes armées qui rodent aux alentours. Malgré la présence des forces de sécurité sur place, de nombreux habitants hésitent toujours à regagner leur domicile, craignant pour leur sécurité.
Les récentes informations recueillies indiquent que l'appel au retour, lancé par les autorités, n'a pas suffi à convaincre la population de retourner dans leurs foyers. Les inquiétudes persistent, notamment en ce qui concerne la sécurité et la protection des familles.
Les autorités compétentes disent travailler sans relâche, pour rétablir l'ordre et garantir la sécurité de tous. Elles encouragent les populations à regagner leurs domiciles afin de reprendre leur vie normale. Selon toujours ces autorités, des mesures nécessaires sont mises en place pour assurer un environnement paisible.
Il est essentiel de comprendre les raisons de cette hésitation, et d'agir en conséquence, et à envisager des mesures supplémentaires pour rassurer les habitants, pouvant renforcer la confiance des résidents envers les autorités.
Ce territoire est désormais vidé de ses habitants, et il est devenu très difficile de croiser une silhouette humaine. Seules quelques rares espèces animales osent encore s'aventurer dans cette région désertée.
En parcourant le canton, on constate avec tristesse des cases brûlées et pillées, laissant derrière elles un spectacle désolant. Actuellement, il ne reste que quelques personnes âgées dans le village de Mandakao, qui, pour des raisons de santé ou d'attachement à leur terre, ont décidé de ne pas quitter leurs foyers.
Ces individus vulnérables se sont réfugiés dans le domicile du chef de canton, où ils se sentent en sécurité, mais leur condition reste précaire. Ils expriment une peur constante de sortir, craignant pour leur vie en raison de la présence de personnes armées qui rodent aux alentours. Malgré la présence des forces de sécurité sur place, de nombreux habitants hésitent toujours à regagner leur domicile, craignant pour leur sécurité.
Les récentes informations recueillies indiquent que l'appel au retour, lancé par les autorités, n'a pas suffi à convaincre la population de retourner dans leurs foyers. Les inquiétudes persistent, notamment en ce qui concerne la sécurité et la protection des familles.
Les autorités compétentes disent travailler sans relâche, pour rétablir l'ordre et garantir la sécurité de tous. Elles encouragent les populations à regagner leurs domiciles afin de reprendre leur vie normale. Selon toujours ces autorités, des mesures nécessaires sont mises en place pour assurer un environnement paisible.
Il est essentiel de comprendre les raisons de cette hésitation, et d'agir en conséquence, et à envisager des mesures supplémentaires pour rassurer les habitants, pouvant renforcer la confiance des résidents envers les autorités.