
Pourquoi les parents pauvres évitent d'aborder la question des études supérieures avec leurs enfants après l'obtention du baccalauréat ? Ce n'est pas un débat, mais une triste réalité.
Après l'obtention du baccalauréat, les enfants issus d'une famille pauvre deviennent un sujet à éviter, pour la simple raison du problème financement des études supérieures.
L'accès aux études supérieures des enfants issus d'une famille défavorisée suscite souvent les débats. Mais ce qui retient notre attention : pourquoi après l'obtention du baccalauréat, l'enfant du pauvre devient un sujet à éviter ?
Selon Assiam Nodjidéné, qui garde encore les souvenirs de cette triste réalité, « toute la famille m'a encouragé à obtenir mon baccalauréat, mais pour les études supérieures, mon propre oncle sur qui je compte ne me reçoit plus. Après j'ai compris que les études supérieures ne sont pas pour les pauvres. Grâce à maman, j'ai fait mon inscription en première année à l'université de Ndjamena, dans le département de Sciences et Technologiques de l'Information et de la Communication », a-t-il expliqué.
De même, pour Richard Allamadji, « c'est après l'obtention du baccalauréat que l'on comprend que les études supérieures ne sont pas réservées aux enfants sans soutien. Pour faire mon entrée à l'université, j'ai fait de la routine », souligne-t-il d'un air mécontent.
Et selon Fatimé, « il faut obtenir ton baccalauréat pour voir le vrai visage de ceux qui vont t'aider à l'université », a-t-il évoqué. C'est une légende urbaine, une triste réalité que beaucoup ont traversé. Mais c'est une leçon de vie qui nous amène à comprendre que l'accès aux études supérieures n'est pas facile pour les enfants issus d'une famille défavorisée.
Il faut des efforts pour y parvenir, l'État doit aussi jouer son rôle de mettre en pratique son engagement sur la question d'accès à l'éducation pour tous.
Après l'obtention du baccalauréat, les enfants issus d'une famille pauvre deviennent un sujet à éviter, pour la simple raison du problème financement des études supérieures.
L'accès aux études supérieures des enfants issus d'une famille défavorisée suscite souvent les débats. Mais ce qui retient notre attention : pourquoi après l'obtention du baccalauréat, l'enfant du pauvre devient un sujet à éviter ?
Selon Assiam Nodjidéné, qui garde encore les souvenirs de cette triste réalité, « toute la famille m'a encouragé à obtenir mon baccalauréat, mais pour les études supérieures, mon propre oncle sur qui je compte ne me reçoit plus. Après j'ai compris que les études supérieures ne sont pas pour les pauvres. Grâce à maman, j'ai fait mon inscription en première année à l'université de Ndjamena, dans le département de Sciences et Technologiques de l'Information et de la Communication », a-t-il expliqué.
De même, pour Richard Allamadji, « c'est après l'obtention du baccalauréat que l'on comprend que les études supérieures ne sont pas réservées aux enfants sans soutien. Pour faire mon entrée à l'université, j'ai fait de la routine », souligne-t-il d'un air mécontent.
Et selon Fatimé, « il faut obtenir ton baccalauréat pour voir le vrai visage de ceux qui vont t'aider à l'université », a-t-il évoqué. C'est une légende urbaine, une triste réalité que beaucoup ont traversé. Mais c'est une leçon de vie qui nous amène à comprendre que l'accès aux études supérieures n'est pas facile pour les enfants issus d'une famille défavorisée.
Il faut des efforts pour y parvenir, l'État doit aussi jouer son rôle de mettre en pratique son engagement sur la question d'accès à l'éducation pour tous.