
Un jeune d'une trentaine d'années, a été assassiné par son collègue de travail au canton Bayaka, dans le nuit de samedi à dimanche 12 novembre 2022.
Les deux jeunes travaillaient dans une ferme à Bayaka N’Djamena, depuis cinq mois. L'un conduisait les animaux au pâturage, tandis que l'autre gardait la ferme.
C'est le berger qui a tué la sentinelle. Selon le témoignage recueilli auprès du responsable de la ferme, Dr Matcho Aguia, l'assassin a témoigné auprès des gendarmes que le défunt a voulu l'attaquer avec un bâton. Il aurait pris son « bongoro » pour le poursuivre et l’aurait tué dans sa chambre.
« Ce n'est pas ce qu'on a constaté », nous dit Dr Matcho Aguia, il relève que le défunt dormait et son agresseur a profité de son sommeil pour l'abattre. « Si c'était au corps-à-corps, le défunt aurait eu des blessures ailleurs qu’au visage et l'assassin pourrait avoir aussi des blessures », détaille le médecin.
Le corps de la victime a été retrouvé allongé sur son couchage, avec le visage brisé par des coups des machettes. Le défunt laisse derrière lui une veuve et deux enfants.
Les deux jeunes travaillaient dans une ferme à Bayaka N’Djamena, depuis cinq mois. L'un conduisait les animaux au pâturage, tandis que l'autre gardait la ferme.
C'est le berger qui a tué la sentinelle. Selon le témoignage recueilli auprès du responsable de la ferme, Dr Matcho Aguia, l'assassin a témoigné auprès des gendarmes que le défunt a voulu l'attaquer avec un bâton. Il aurait pris son « bongoro » pour le poursuivre et l’aurait tué dans sa chambre.
« Ce n'est pas ce qu'on a constaté », nous dit Dr Matcho Aguia, il relève que le défunt dormait et son agresseur a profité de son sommeil pour l'abattre. « Si c'était au corps-à-corps, le défunt aurait eu des blessures ailleurs qu’au visage et l'assassin pourrait avoir aussi des blessures », détaille le médecin.
Le corps de la victime a été retrouvé allongé sur son couchage, avec le visage brisé par des coups des machettes. Le défunt laisse derrière lui une veuve et deux enfants.