Cette rencontre vise à favoriser les échanges et réflexions sur la rédaction scientifique, en mettant l’accent sur l’utilisation des outils numériques. L’objectif est de promouvoir une communication claire et accessible des idées complexes, tout en renforçant l’engagement des chercheurs envers l’excellence dans la recherche et la diffusion scientifique.
Dans son discours d’ouverture, le professeur Adawaye Chatté, président du Conseil scientifique de l’ACST, a rappelé que la rédaction scientifique ne se limite pas à un exercice formel, mais constitue un véritable art de transmission : « La rédaction scientifique est bien plus qu’un simple exercice d’écriture. C’est l’art de transmettre des idées complexes de manière claire et compréhensible. »
Pendant deux jours, les participants exploreront les meilleures pratiques en matière de structuration d’articles scientifiques, les exigences des revues spécialisées, ainsi que les stratégies pour surmonter les obstacles fréquents rencontrés par les chercheurs dans leur parcours rédactionnel.
Le professeur Chatté a également mis l’accent sur l’importance de la collaboration et du partage d’expériences entre chercheurs, appelant l’assistance à participer activement aux discussions prévues durant ces deux journées d’échanges.
Pour sa part, le Dr Marayi Choroma, directeur général de l’AUF, a souligné le rôle essentiel des outils numériques dans le processus d’innovation et de vulgarisation des travaux scientifiques : « Le numérique est devenu un levier incontournable pour moderniser la recherche scientifique et faciliter la diffusion des idées novatrices. »
Enfin, c’est le vice-président de l’Université de N’Djamena, Pr Abakar Mahamat Tahir, qui a procédé au lancement officiel des travaux. Il a insisté sur la nécessité de rendre la recherche plus visible grâce aux technologies de l’information et de la communication (TIC) : « Cette conférence offre une opportunité précieuse aux chercheurs de partager leurs connaissances et de valoriser leurs productions scientifiques à l’échelle nationale et internationale. »
Dans son discours d’ouverture, le professeur Adawaye Chatté, président du Conseil scientifique de l’ACST, a rappelé que la rédaction scientifique ne se limite pas à un exercice formel, mais constitue un véritable art de transmission : « La rédaction scientifique est bien plus qu’un simple exercice d’écriture. C’est l’art de transmettre des idées complexes de manière claire et compréhensible. »
Pendant deux jours, les participants exploreront les meilleures pratiques en matière de structuration d’articles scientifiques, les exigences des revues spécialisées, ainsi que les stratégies pour surmonter les obstacles fréquents rencontrés par les chercheurs dans leur parcours rédactionnel.
Le professeur Chatté a également mis l’accent sur l’importance de la collaboration et du partage d’expériences entre chercheurs, appelant l’assistance à participer activement aux discussions prévues durant ces deux journées d’échanges.
Pour sa part, le Dr Marayi Choroma, directeur général de l’AUF, a souligné le rôle essentiel des outils numériques dans le processus d’innovation et de vulgarisation des travaux scientifiques : « Le numérique est devenu un levier incontournable pour moderniser la recherche scientifique et faciliter la diffusion des idées novatrices. »
Enfin, c’est le vice-président de l’Université de N’Djamena, Pr Abakar Mahamat Tahir, qui a procédé au lancement officiel des travaux. Il a insisté sur la nécessité de rendre la recherche plus visible grâce aux technologies de l’information et de la communication (TIC) : « Cette conférence offre une opportunité précieuse aux chercheurs de partager leurs connaissances et de valoriser leurs productions scientifiques à l’échelle nationale et internationale. »