La capitale du Tchad, N'Djamena, est à la deuxième place des villes africaines où la vie est la plus chère pour les expatriés en 2020, selon une étude du cabinet américain Mercier. Elle se positionne derrière Victoria au Seychelles.
Au niveau mondial, N'Djamena est à la 15ème place, soit un recul de 4 places par rapport à l'année dernière.
Face à la crise, nombreuses sont les organisations qui revoient leurs programmes de mobilité en proposant d'autres formes de mobilité internationale et en mettant l'accent sur le bien-être des collaborateurs.
La 26è enquête de Mercer sur le coût de la vie et du logement apporte un éclairage essentiel dans le contexte de la crise COVID-19, sur le coût et la rémunération des expatriés. Les données de Mercer ont été recueillies en mars* ; les écarts de prix dans de nombreux endroits n'étaient donc pas significatifs.
Des prix stables au Moyent-Orient, N'Djamena toujours en tête des villes les plus onéreuses d’Afrique
Les Émirats Arabes Unis continuent de diversifier leur économie, réduisant par conséquent l'impact de l'industrie pétrolière sur leur PIB. Ce processus en cours a entraîné une évolution négative des prix à Dubaï et à Abu Dhabi. Tout comme les Émirats Arabes Unis, l'Arabie saoudite souhaite limiter l'impact de ses exportations de pétrole et cherche un modèle économique plus diversifié. Les prix sont restés stables au cours des six derniers mois ; toutefois, l'augmentation prochaine de la taxe sur la valeur ajoutée aura probablement un effet sur les prix.
Tel Aviv (12) reste la ville la plus chère du Moyen-Orient, suivie de Dubaï (23), Riyad (31) et Abu Dhabi (39). Le Caire (126) reste la ville la moins chère de la région malgré une hausse de quarante places.
Ndjamena, au Tchad (15), est la ville la mieux classée en Afrique, tandis que Tunis (209), en Tunisie, est la ville la moins chère de la région et du monde.
Au niveau mondial, N'Djamena est à la 15ème place, soit un recul de 4 places par rapport à l'année dernière.
Face à la crise, nombreuses sont les organisations qui revoient leurs programmes de mobilité en proposant d'autres formes de mobilité internationale et en mettant l'accent sur le bien-être des collaborateurs.
La 26è enquête de Mercer sur le coût de la vie et du logement apporte un éclairage essentiel dans le contexte de la crise COVID-19, sur le coût et la rémunération des expatriés. Les données de Mercer ont été recueillies en mars* ; les écarts de prix dans de nombreux endroits n'étaient donc pas significatifs.
Des prix stables au Moyent-Orient, N'Djamena toujours en tête des villes les plus onéreuses d’Afrique
Les Émirats Arabes Unis continuent de diversifier leur économie, réduisant par conséquent l'impact de l'industrie pétrolière sur leur PIB. Ce processus en cours a entraîné une évolution négative des prix à Dubaï et à Abu Dhabi. Tout comme les Émirats Arabes Unis, l'Arabie saoudite souhaite limiter l'impact de ses exportations de pétrole et cherche un modèle économique plus diversifié. Les prix sont restés stables au cours des six derniers mois ; toutefois, l'augmentation prochaine de la taxe sur la valeur ajoutée aura probablement un effet sur les prix.
Tel Aviv (12) reste la ville la plus chère du Moyen-Orient, suivie de Dubaï (23), Riyad (31) et Abu Dhabi (39). Le Caire (126) reste la ville la moins chère de la région malgré une hausse de quarante places.
Ndjamena, au Tchad (15), est la ville la mieux classée en Afrique, tandis que Tunis (209), en Tunisie, est la ville la moins chère de la région et du monde.