« La monnaie numérique dans les finances publiques », cette thématique a été au centre de l’atelier d’échanges réunissant les experts venus d’une vingtaine de pays parmi lesquels le Congo, avec pour entre autres objectifs, moderniser les opérations budgétaires grâce à la monnaie numérique.
Au cours de ces assises, le Congo a laissé bonne impression à l’ensemble des participants. En effet, à partir de la présentation du système ITACS, le directeur du système informatique du ministère des finances et du budget et du portefeuille public, Elenga Ngaporo Okina, a présenté, à Abidjan en Côte d’Ivoire , les avancées du Congo en matière de monnaie numérique et de système de payement dans les opérations budgétaires.
Des efforts salués par AbdoulaHi Mfouobouot, conseiller au FMI. « Vous avez vu la présentation du Congo avec le dispositif assez séduisant qui est en train de mettre en place. » A-t-il déclaré. Pour lui, le système total intégré sur la dorsale budget-trésor avec aujourd’hui toutes les applications qu’elle devrait fédérer y compris la gestion de la dette et de la solde est quelque chose de très important.
L’expert du FMI est resté confiant tout en précisant. «... désormais un ordonnateur au Congo, assis dans son bureau, et à partir de son système est à mesure de savoir quelle est la trajectoire du dossier et à quel moment le dossier a été payé. » Cela permet à l’Etat, a souligné AbdoulaHi Mfouobouot, « aujourd’hui non seulement la traçabilité mais également de pouvoir maitriser, les flux des dépenses et de pouvoir contrôler la constitution des arriérés. »
En retour, la délégation congolaise s’est également imprégnée des expériences de bonnes pratiques présentées par les autres pays participants, en matière de développement de la monnaie numérique dans la finance publique. Selon, le directeur des systèmes d’information au ministère des finances du Congo, la digitalisation du payement et la monnaie numérique sont des exemples à suivre. « L’enrichissement (…) que nous avons eu de la part des expériences des autres pays, c’est au niveau de la digitalisation du payement et au niveau de la monnaie numérique et nous avons bien pris note... », a déclaré Elenga Ngaporo Okina.
Le directeur des systèmes d’information au Ministère des finances du Congo entend implémenter cette expérience au niveau de la CEMAC et avec les décideurs. « On n’oublie pas que nous appartenons à un espace communautaire qui est la CEMAC et avec les décideurs nous allons voir comment implémenter ces solutions là tout en tenant compte des lois et de la règlementation en vigueur au niveau national et au niveau communautaire. » A-t-il martelé
L’expert congolais a, par ailleurs, salué l’exemple ivoirien, entre autres, sur le trésor-paye et le trésor-monnaie. « C’est un très bel outil, j’ai eu l’occasion d’assister à son utilisation et pour nous, c’est un exemple à capitaliser au niveau de la République du Congo et au niveau ivoirien de dire que vous êtes sur la bonne voie. » S’est-il exprimé.
A noter que, cet atelier d’échanges a réuni des experts venus, entre autres, de la Côte d’Ivoire, du Sénégal, de la Guinée Équatoriale, du Cameroun, du Mozambique, du Congo.
Au cours de ces assises, le Congo a laissé bonne impression à l’ensemble des participants. En effet, à partir de la présentation du système ITACS, le directeur du système informatique du ministère des finances et du budget et du portefeuille public, Elenga Ngaporo Okina, a présenté, à Abidjan en Côte d’Ivoire , les avancées du Congo en matière de monnaie numérique et de système de payement dans les opérations budgétaires.
Des efforts salués par AbdoulaHi Mfouobouot, conseiller au FMI. « Vous avez vu la présentation du Congo avec le dispositif assez séduisant qui est en train de mettre en place. » A-t-il déclaré. Pour lui, le système total intégré sur la dorsale budget-trésor avec aujourd’hui toutes les applications qu’elle devrait fédérer y compris la gestion de la dette et de la solde est quelque chose de très important.
L’expert du FMI est resté confiant tout en précisant. «... désormais un ordonnateur au Congo, assis dans son bureau, et à partir de son système est à mesure de savoir quelle est la trajectoire du dossier et à quel moment le dossier a été payé. » Cela permet à l’Etat, a souligné AbdoulaHi Mfouobouot, « aujourd’hui non seulement la traçabilité mais également de pouvoir maitriser, les flux des dépenses et de pouvoir contrôler la constitution des arriérés. »
En retour, la délégation congolaise s’est également imprégnée des expériences de bonnes pratiques présentées par les autres pays participants, en matière de développement de la monnaie numérique dans la finance publique. Selon, le directeur des systèmes d’information au ministère des finances du Congo, la digitalisation du payement et la monnaie numérique sont des exemples à suivre. « L’enrichissement (…) que nous avons eu de la part des expériences des autres pays, c’est au niveau de la digitalisation du payement et au niveau de la monnaie numérique et nous avons bien pris note... », a déclaré Elenga Ngaporo Okina.
Le directeur des systèmes d’information au Ministère des finances du Congo entend implémenter cette expérience au niveau de la CEMAC et avec les décideurs. « On n’oublie pas que nous appartenons à un espace communautaire qui est la CEMAC et avec les décideurs nous allons voir comment implémenter ces solutions là tout en tenant compte des lois et de la règlementation en vigueur au niveau national et au niveau communautaire. » A-t-il martelé
L’expert congolais a, par ailleurs, salué l’exemple ivoirien, entre autres, sur le trésor-paye et le trésor-monnaie. « C’est un très bel outil, j’ai eu l’occasion d’assister à son utilisation et pour nous, c’est un exemple à capitaliser au niveau de la République du Congo et au niveau ivoirien de dire que vous êtes sur la bonne voie. » S’est-il exprimé.
A noter que, cet atelier d’échanges a réuni des experts venus, entre autres, de la Côte d’Ivoire, du Sénégal, de la Guinée Équatoriale, du Cameroun, du Mozambique, du Congo.