
Une opération de distribution de masques en juin 2020 à N'Djamena. Illustration © Ben Kadabio/Alwihda Info
"La Manufacture des équipements militaires (MANEM) est en train de fabriquer, avec la Nouvelle Société Cotonnière du Togo (NSCT) de Sarh, un stock de 10 millions de masques communautaires, en prélude à tout ce qui peut advenir", a déclaré mardi le ministre de l'Économie, de la Planification du développement et de la Coopération internationale, Dr. Issa Doubragne.
"Vous, vous souvenez qu'il y a eu un débat, à un moment donné où on n'avait pas de masques, où par exemple en France un stock de masques aurait été détruit, et que quand la pandémie était arrivée les gens étaient en rupture de masques. Ça nous a donné l'idée aussi, non seulement de stocker les masques populaires mais de prévenir ce qui va advenir ; s'il y a une deuxième vague qui revient, de permettre à chaque tchadien de porter au moins le masque pour se protéger", a expliqué le ministre.
"D'ailleurs, l'année scolaire qui va commencer et qui va être généralisée, nous ne pourrions pas faire les séquences de matin et soir ou de construire des salles de classe supplémentaires. Le seul moyen c'est que tout le monde porte le masque à l'école. Sinon nous ne pourrions pas avoir la distanciation dans nos classes", a dit Dr. Issa Doubragne.
Ces actions d'anticipation sont notamment rendues possibles grâce au financement de neuf milliards Fcfa de la Banque Arabe pour le Développement Economique en Afrique (BADEA).
"Vous, vous souvenez qu'il y a eu un débat, à un moment donné où on n'avait pas de masques, où par exemple en France un stock de masques aurait été détruit, et que quand la pandémie était arrivée les gens étaient en rupture de masques. Ça nous a donné l'idée aussi, non seulement de stocker les masques populaires mais de prévenir ce qui va advenir ; s'il y a une deuxième vague qui revient, de permettre à chaque tchadien de porter au moins le masque pour se protéger", a expliqué le ministre.
"D'ailleurs, l'année scolaire qui va commencer et qui va être généralisée, nous ne pourrions pas faire les séquences de matin et soir ou de construire des salles de classe supplémentaires. Le seul moyen c'est que tout le monde porte le masque à l'école. Sinon nous ne pourrions pas avoir la distanciation dans nos classes", a dit Dr. Issa Doubragne.
Ces actions d'anticipation sont notamment rendues possibles grâce au financement de neuf milliards Fcfa de la Banque Arabe pour le Développement Economique en Afrique (BADEA).