ANALYSE

Djibouti : Investig'Ali-Sabieh


Alwihda Info | Par D'‪Ali‬-sabieh - 6 Avril 2016


D après l'article 10 de la constitution djiboutienne’« Nul ne peut être poursuivi, arrêté, inculpé ou condamné qu'en vertu d'une loi promulguée antérieurement aux faits qui lui sont reprochés. Tout prévenu est présumé innocent jusqu'à ce que sa culpabilité soit établie par la juridiction compétente. »


La région d'Ali-Sabieh est toujours dans la tourmente d'une mauvaise gouvernance du préfet à savoir Monsieur Mohamed Wabéri Assoweh(Alias Dalieh). Il ne se passe pas un jour,pas un mois sans que la corruption, l'abus de pouvoir de la préfecture jalonne la vie quotidienne des habitants tous confondus de la ville d'Ali-Sabieh.

La dernière actualité évoque la suspension d'une jeune mère de famille pour cause de détournement d’un fonds de plus 4 millions de Fdj de l’Office Nationale des Eaux à Djibouti de la région d’Ali-Sabieh Le serviteur du régime (Mohamed wabéri Assoweh ‘’ Waxmatareh’’) s'en prend-il à la famille de ses militants les plus actives ?

Pourtant une scène presque inaperçue s'est déroulée à Ali-Sabieh. La Soeur d'un militant (Ali Ladieh Ismaïl) très actif de l’UMP (RPP) d’Aska mais aussi le conseiller principal de la brebis de Waberi Assoweh de la préfecture, a été écrouée à la prison centrale de Gabode dont elle a croupie durant 2 mois et 10 jours.

A-t-elle vraiment commit ce délit pour se retrouver dernière les barreaux ? Cette question taraude toujours et encore l'esprit des vieux de la ville dans leurs discussions ou dans leurs palabres. Aicha Ladieh Ismail était une employée de l'ONEAD,dont sa fonction fut la caissière de cet établissement public pendant 8 ans. Connue par ses pairs pour sa sincérité et sa loyauté envers les clients de l'ONEAD et ses supérieurs hiérarchiques et sans une moindre plainte durant son service, elle se sacrifiait pour sa famille et sa propre région.Pourquoi une jeune maman de 2 enfants menant une vie confortable, marié à un fonctionnaire de l’état, s’est permis de voler la propre société qui lui a offert l’opportunité à laquelle chaque Djiboutien recherche, mais aussi comment une somme de plus 4 millions s'est volatilisé en une journée ?

D après l'article 10 de la constitution djiboutienne’« Nul ne peut être poursuivi, arrêté, inculpé ou condamné qu'en vertu d'une loi promulguée antérieurement aux faits qui lui sont reprochés. Tout prévenu est présumé innocent jusqu'à ce que sa culpabilité soit établie par la juridiction compétente. » En partant du principe qu’une enquête devrait être ouverte sur ce détournement de fonds et que tout le personnel de cet établissement devrait être interrogé au peigne fin, on tomberait sûrement sur le vrai Arsène Lupin de ce délit. Hélas cela s’est réalisé d’une manière disproportionné et injuste, car la justice djiboutienne est toujours aux abois du régime et de ses serviteurs. Cette justice n’a pas épargné en la personne d’Aïcha Ladieh Ismaïl d’être victime d’une Suspension de sa fonction en date du 06 octobre 2015, suivi d’une suspension de salaire par son responsable local de l’établissement un certain Ahmed Saïd Hildid sous l’appui d’un décret du ministre de l'agriculture Mohamed Ahmed Awaleh pour ainsi faire porter le chapeau à cette dernière et la mettre sous les verrous après une condamnation de la justice en début de décembre 2015 d’une peine d’emprisonnement d’ un an alors que Madame Aïcha Ladieh niait les circonstances du vol de ladite énorme somme.
Nous avions décidés de joindre la victime à savoir Madame Aicha Ladieh Ismail pour avoir amples informations sur ce fait, mais cette dernière affaiblie, traumatisée et decue de l'acharnement subie part tout un système régionale mafieux, nous a demandé de chercher la vérité par nos propres moyens. Nous avons décidé poser des questions au préfet de la région l'ignare Mohamed Wabéri qui nous fait savoir qu'elle a volée seule l'argent mais lorsqu'on a posé ''As-tu des preuves'' ? Ce dernier ordonne les agents de la police qui assure sa sécurité de nous expulsé de la préfecture. Donc, nous avons décidé dès lors de mener notre propre investigation auprès des habitants de la région mais aussi auprès du personnel de l'ONEAD de région d'Ali-Sabieh.

Nous, les administrateurs de la page Ali-Sabieh.La Terre des Hommes Intégre avons recueillis des informations concernant sur le poste de caissière exercée par Aicha Ladieh qui fut remplacé par un intérimaire au nom de Fouad Awaleh qui lui aussi ne tarde pas à être victime du même scénario de vol de la caisse à 3 reprises, alors que sa prédécesseur en l'occurrence Aicha Ladieh croupissait dans la sinistre prison de Gabode tout en infligeant à sa famille de rembourser les 4 Millions de Francs. La vérité n'est nulle part ailleurs, si ce n'est que le vrai Arsène Lupin est une personne de la société de l'ONEAD à savoir un individu bien placé ayant un bouclier solide de la préfecture régionale et au-delà jusqu'à dans les coulisses de la justice. Toutefois le jeune intérimaire Fouad Awaleh angoissé, est même sur le point de renoncer à ce poste à cause de cette série de détournement, et n'a cessé de joindre la hiérarchie supérieure de Djibouti-Ville pour ne pas être le coupable suivant, car il s'avère que le pillage des fonds s'est produit sans aucune casse et qu'il exiset une doublure des clés d'accès à la caisse.

Au ministère de l'Agriculture règnent une confusion et un silence total d'un synopsis incroyable mais vrai sur la caisse de l'ONEAD d'Ali-Sabieh qui continue d’être dérobée. La brume de la culpabilité de la jeune Maman Aicha Ladieh s'évapore au loin tout en laissant apparaitre l'odeur d'une innocence soufflée sous les narines des curieux Assajogs qui suivent de près les événements auxquels remontent jusqu'à la famille de cette dernière qui s'empresse de saisir la cour d'appel de justice avec un témoin clé en l'occurrence du jeune intérimaire Fouad Awaleh en date du 23 Janvier 2016 lors d'une comparution d'Aicha Ladieh devant la cour d'appel de justice, dont le juge délibère une décision favorable sur le non-lieu des chefs d'accusations de la caissière même si sa famille a payé une moitié de la somme volée que l'ONEAD réclamait. Aicha LADIEH a retrouvé sa liberté sans que la cour d'appel ne la dédommage pour sa fausse condamnation et pour son incarcération d'une période de 2 Mois et 10 Jours passé derrière les barreaux.

Si Aicha Ladieh Ismail a été innocenté sur cette affaire par le témoignage du jeune intérimaire Fouad Awaleh, le problème n'est pas résolu car on est toujours à la recherche du malfaiteur mystérieux du pillage de la caisse de l'ONEAD. Tous les projecteur se tournent vers le responsable de ladite Société le cas échéant Monsieur Ahmed Said Hildid qui serait le principal mentor de ce pillage.

Qui est vraiment Ahmed Saïd Hildid ?

Ce Monsieur est pure et simplement le beau-frère de l'actuel Zèlé Prefet de la région Mohamed Wabéri Assoweh(Alias Dalieh) qui use de la force à l’encontre de la population d’Ali-Sabieh. Ce véreux préfet s'est permis en mettant la pression sur les gendarme de la région d'enfermer Aicha Ladieh d'une part, et de laisser le travail de la Justice à son demi-frère Magistrat Yasser Wabéri Assoweh pour en finir avec cette dernière tout en protégeant leur beau-frère Malfrat Ahmed Said Hildid qui poursuit de pomper la caisse de l'ONEAD comme sa propre tirelire plusieurs fois sans le moindre soupçon.

Nous avons décidé de se rendre à la capital près de l'arrondissement 4 dans un batiment (Voir Photo) qui vient d’être achever , Ahmed Said Hildid a été nommé en 2012 responsable local de l'ONEAD et la décision a été exécuté en 2013, alors une question, comment ce dernier a construit un Villa d'une centaine Mètre carré en 8 mois ?

Donc aucun doute d'avoir utilisé des fonds publics (l'argent volé de la caisse de l'ONEAD) pour la construction de sa résidence privée(Voir Photo). Pourtant dans la cour d'appel, la juge du dossier se rend compte que la jeune caissière est innocente et elle a été libérée après que le caissier soit à son tour victime de raquette. De ce fait, lorsque l'avocat a saisi le juge pour qu'une enquête approfondi soit effectué et l'auteur soit mit devant la justice. Elle promet, que la justice va enquêtée et fois l'auteur sera traduit devant la justice Aicha sera réintégré à son travaille et indemnisé mais jusqu'à présent le juge et les enquêteurs restent silencieux. Vers fin février 2016, une réunion se réalise dans le local de la direction de l'ONEAD présider par Hildid pour une réintégré Aicha ou pas...Mais ce dernier à tout fait pour l'accuser et déclare soit, c'est elle qui va restée soit je reste.

Ce qui est sur ce que Ahmed Said Hildid est bien protéger par les beaux-frères lorsqu'il s'agit du tribunal Yasser est procureur et lorsqu'il s'agit des gendarmes qui mènent l’enquête l'ignare préfet est là mais jusqu'à quand ?......Ce dans cette condition de l'injustice que Guelleh va se représenté pour sa 4èm Mandat.

Ali Ladieh le ferveur militant, ne sait point de quelle rang se ranger malgré celle-ci il a décidé d'ignorer sa sœur et courir derrière le préfet.
 

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