
Lors de la cérémonie d’ouverture du 17ème Sommet des affaires États-Unis-Afrique organisé par le Corporate Council on Africa (CCA) à Luanda, l’ambassadeur Troy Fitrell, représentant du Bureau des affaires africaines au département d’État américain, a prononcé un discours marquant un tournant stratégique dans les relations économiques entre les États-Unis et l’Afrique. Représentant le président des États-Unis et le secrétaire d’État, le diplomate a souligné que l’Afrique connaît une transformation sans précédent.
Son PIB total a été multiplié par cinq depuis 1997, et douze des vingt économies mondiales les plus dynamiques en 2025 se trouvent sur le continent. L’Afrique abrite désormais un marché numérique de 180 milliards de dollars, avec des projections dépassant 700 milliards d’ici 2050.
Une nouvelle approche fondée sur le partenariat
Reconnaissant l’inadéquation des politiques passées, trop centrées sur l’aide au développement, Troy Fitrell a plaidé pour une relation d’égal à égal fondée sur le commerce et l’investissement. Malgré la croissance africaine, les exportations américaines vers l’Afrique subsaharienne représentent moins de 1% du commerce mondial des États-Unis, un chiffre inchangé depuis des décennies.
Face à cette réalité, l’ambassadeur a dévoilé une nouvelle stratégie de diplomatie commerciale en six points :
- Prioriser la diplomatie commerciale dans les ambassades africaines.
- Travailler avec les gouvernements africains sur les réformes du marché.
- Renforcer les projets d’infrastructure viables, à l’image du corridor de Lobito.
- Inclure le secteur privé dans les missions diplomatiques.
- Relier davantage d’entreprises américaines prêtes à l’export aux opportunités africaines.
- Réformer les outils de commerce et de financement des États-Unis pour plus d’agilité et de compétitivité.
Depuis le lancement de cette stratégie, 37 grands projets sont en cours à travers le continent, s’ajoutant aux 33 accords conclus au début de l’administration Trump. Un accord phare de 8,8 milliards de dollars pour la construction d’un terminal de gaz naturel liquéfié à Freetown devrait être signé durant le sommet.
L’ambassadeur Fitrell a appelé les entreprises américaines à investir avec audace, et les États africains à garantir un environnement favorable aux affaires, saluant la présence d’investisseurs institutionnels représentant 134 milliards de dollars d’actifs.
Son PIB total a été multiplié par cinq depuis 1997, et douze des vingt économies mondiales les plus dynamiques en 2025 se trouvent sur le continent. L’Afrique abrite désormais un marché numérique de 180 milliards de dollars, avec des projections dépassant 700 milliards d’ici 2050.
Une nouvelle approche fondée sur le partenariat
Reconnaissant l’inadéquation des politiques passées, trop centrées sur l’aide au développement, Troy Fitrell a plaidé pour une relation d’égal à égal fondée sur le commerce et l’investissement. Malgré la croissance africaine, les exportations américaines vers l’Afrique subsaharienne représentent moins de 1% du commerce mondial des États-Unis, un chiffre inchangé depuis des décennies.
Face à cette réalité, l’ambassadeur a dévoilé une nouvelle stratégie de diplomatie commerciale en six points :
- Prioriser la diplomatie commerciale dans les ambassades africaines.
- Travailler avec les gouvernements africains sur les réformes du marché.
- Renforcer les projets d’infrastructure viables, à l’image du corridor de Lobito.
- Inclure le secteur privé dans les missions diplomatiques.
- Relier davantage d’entreprises américaines prêtes à l’export aux opportunités africaines.
- Réformer les outils de commerce et de financement des États-Unis pour plus d’agilité et de compétitivité.
Depuis le lancement de cette stratégie, 37 grands projets sont en cours à travers le continent, s’ajoutant aux 33 accords conclus au début de l’administration Trump. Un accord phare de 8,8 milliards de dollars pour la construction d’un terminal de gaz naturel liquéfié à Freetown devrait être signé durant le sommet.
L’ambassadeur Fitrell a appelé les entreprises américaines à investir avec audace, et les États africains à garantir un environnement favorable aux affaires, saluant la présence d’investisseurs institutionnels représentant 134 milliards de dollars d’actifs.