Le 6e sommet extraordinaire des Chefs d’Etat du G5 Sahel s’est ouvert ce lundi 20 février 2023 à N’Djamena, au Tchad, sans la présence du Mali. Le thème de cette rencontre était « Coopération régionale en matière de développement et de sécurité ».
Le G5 Sahel a été créé en 2014 pour lutter contre les groupes terroristes qui sévissent dans la région sahélienne de l'Afrique de l'Ouest. Les pays membres sont le Mali, le Burkina Faso, le Niger, la Mauritanie et le Tchad. Depuis sa création, le G5 Sahel a connu des hauts et des bas, avec des progrès réalisés dans certains domaines mais également des difficultés dans la mise en œuvre de certains projets.
Le Mali a décidé de se retirer de l’organisation en mai 2022, arguant « l’échec dans l’organisation de sommets au Mali et les manœuvres d’un État extrarégional visant désespérément à isoler le Mali ». Ce retrait est un coup dur pour l’organisation, puisque le Mali est l'un des membres fondateurs et est considéré comme l'un des pays les plus touchés par l'insécurité dans la région.
Le président sortant du G5 Sahel, Mahamat Idriss Deby, a admis dans son message inaugural que le retrait du Mali est un coup dur pour l'organisation. Il a appelé les pays du Sahel à continuer à travailler ensemble et à poursuivre les négociations pour ramener le Mali dans l'organisation.
Le sommet s’est ouvert en présence du président mauritanien Mohamed Oul Al Ghazouani, son homologue du Niger, Mohamed Bazoum, celui du ministre de la Défense du Burkina-Faso, Kassoum Coulibaly, représentant le Président et des représentants des partenaires techniques et financiers du G5 Sahel. C’est la première fois que les chefs d’Etat du G5 Sahel se réunissent depuis le retrait du Mali de l’organisation en mai 2022.
La situation sécuritaire dans la région sahélienne est toujours préoccupante, malgré les efforts déployés par les pays du G5 Sahel et leurs partenaires. Les groupes terroristes continuent de mener des attaques meurtrières contre les populations civiles et les forces de sécurité dans la région. Le G5 Sahel a donc un rôle crucial à jouer dans la stabilisation de la région et la lutte contre le terrorisme.
Le sommet de N’Djamena est donc une occasion pour les chefs d'Etat du G5 Sahel de réaffirmer leur engagement à travailler ensemble pour lutter contre l'insécurité dans la région, renforcer la coopération régionale en matière de développement et de sécurité, et trouver des solutions pour ramener le Mali dans l'organisation. Le succès de cette rencontre dépendra de la volonté politique des dirigeants des pays membres du G5 Sahel à travailler ensemble pour atteindre ces objectifs.
Le G5 Sahel a été créé en 2014 pour lutter contre les groupes terroristes qui sévissent dans la région sahélienne de l'Afrique de l'Ouest. Les pays membres sont le Mali, le Burkina Faso, le Niger, la Mauritanie et le Tchad. Depuis sa création, le G5 Sahel a connu des hauts et des bas, avec des progrès réalisés dans certains domaines mais également des difficultés dans la mise en œuvre de certains projets.
Le Mali a décidé de se retirer de l’organisation en mai 2022, arguant « l’échec dans l’organisation de sommets au Mali et les manœuvres d’un État extrarégional visant désespérément à isoler le Mali ». Ce retrait est un coup dur pour l’organisation, puisque le Mali est l'un des membres fondateurs et est considéré comme l'un des pays les plus touchés par l'insécurité dans la région.
Le président sortant du G5 Sahel, Mahamat Idriss Deby, a admis dans son message inaugural que le retrait du Mali est un coup dur pour l'organisation. Il a appelé les pays du Sahel à continuer à travailler ensemble et à poursuivre les négociations pour ramener le Mali dans l'organisation.
Le sommet s’est ouvert en présence du président mauritanien Mohamed Oul Al Ghazouani, son homologue du Niger, Mohamed Bazoum, celui du ministre de la Défense du Burkina-Faso, Kassoum Coulibaly, représentant le Président et des représentants des partenaires techniques et financiers du G5 Sahel. C’est la première fois que les chefs d’Etat du G5 Sahel se réunissent depuis le retrait du Mali de l’organisation en mai 2022.
La situation sécuritaire dans la région sahélienne est toujours préoccupante, malgré les efforts déployés par les pays du G5 Sahel et leurs partenaires. Les groupes terroristes continuent de mener des attaques meurtrières contre les populations civiles et les forces de sécurité dans la région. Le G5 Sahel a donc un rôle crucial à jouer dans la stabilisation de la région et la lutte contre le terrorisme.
Le sommet de N’Djamena est donc une occasion pour les chefs d'Etat du G5 Sahel de réaffirmer leur engagement à travailler ensemble pour lutter contre l'insécurité dans la région, renforcer la coopération régionale en matière de développement et de sécurité, et trouver des solutions pour ramener le Mali dans l'organisation. Le succès de cette rencontre dépendra de la volonté politique des dirigeants des pays membres du G5 Sahel à travailler ensemble pour atteindre ces objectifs.