
La Garde nationale aiguise ses crocs pour mieux attaquer et frapper fort dans la pègre afin de mieux accomplir ses missions de contribution au maintien de l’ordre public, la lutte contre le terrorisme et la piraterie maritime. En effet, depuis le lundi 30 juin 2025, les éléments du colonel Faïzou Gomina ont démarré la manœuvre « Bouclier ».
C’est une opération d'envergure qui traverse plusieurs départements, notamment le Zou, le Mono et le Couffo, et engage plus de 560 personnes. Au regard des moyens mis en œuvre, et de l’ambition du chef d'État-major général des Forces armées béninoises, le général de division Fructueux Gbaguidi, la manœuvre « Bouclier » vient renforcer les exercices organisés précédemment au profit de la Garde nationale à Pira, Bassila, Djakotomey, Lalo, Ouesse ...etc.
Au premier jour des opérations, le lieutenant-colonel Adamassou Valère, directeur des exercices, a situé l’assistance sur le contexte. Il est marqué, selon lui, par les menaces persistantes des attaques terroristes dans le nord du pays avec les risques de sa progression vers le sud.
Il est alors de bon aloi que la Garde nationale reste éveillée et mise sur l'anticipation. Ainsi, pour respecter les vœux du chef d'état-major général des Forces armées béninoises, il est important de tester la capacité de la Garde nationale à réagir dans la partie méridionale du pays. L’objectif de la manœuvre « Bouclier » est donc d’évaluer la capacité de la troupe à engager un groupement de force dans le cadre de la lutte contre le terrorisme tout en remplissant ses missions quotidiennes.
Pour le chef d'état-major de la Garde nationale, le colonel Faïzou Gomina, l’exercice permettra également aux personnels d’être plus aguerris avant leur déploiement en zone opérationnelle. Toujours dans le cadre de la manœuvre « Bouclier », plusieurs éléments de la Garde nationale bénéficient de renforcement de capacités dans différents domaines.
À la Brigade fluviale de Ladji à Cotonou, il était question d’intervention de sauvetage sur l’eau, d'exercices d’aguerrissement sur le site d’escalade des FAB à Dassa, les éléments étaient également sur la piste d’audace au camp militaire de Ouassa.
Cette manœuvre qui est interne à la Garde nationale bénéficie de l’appui aérien de l’armée de l’air, et du soutien des renseignements de la Police républicaine. Mieux, des experts de l’armée de terre, ceux de la Marine nationale, sont également de la partie pour évaluer les troupes engagées.
L’opération « Bouclier » connaîtra, dans son déroulé, une simulation d’interventions d’urgence en cas d’attaques terroristes, y compris la neutralisation d’individus armés et la sécurisation de lieux publics. L'opération "Bouclier" connaîtra son apothéose les jeudis 03 et vendredi 04 juillet 2025 avec une action médicale sociale de traitement de plusieurs affections et de distribution de produits pharmaceutiques, et une journée VIP.
C’est une opération d'envergure qui traverse plusieurs départements, notamment le Zou, le Mono et le Couffo, et engage plus de 560 personnes. Au regard des moyens mis en œuvre, et de l’ambition du chef d'État-major général des Forces armées béninoises, le général de division Fructueux Gbaguidi, la manœuvre « Bouclier » vient renforcer les exercices organisés précédemment au profit de la Garde nationale à Pira, Bassila, Djakotomey, Lalo, Ouesse ...etc.
Au premier jour des opérations, le lieutenant-colonel Adamassou Valère, directeur des exercices, a situé l’assistance sur le contexte. Il est marqué, selon lui, par les menaces persistantes des attaques terroristes dans le nord du pays avec les risques de sa progression vers le sud.
Il est alors de bon aloi que la Garde nationale reste éveillée et mise sur l'anticipation. Ainsi, pour respecter les vœux du chef d'état-major général des Forces armées béninoises, il est important de tester la capacité de la Garde nationale à réagir dans la partie méridionale du pays. L’objectif de la manœuvre « Bouclier » est donc d’évaluer la capacité de la troupe à engager un groupement de force dans le cadre de la lutte contre le terrorisme tout en remplissant ses missions quotidiennes.
Pour le chef d'état-major de la Garde nationale, le colonel Faïzou Gomina, l’exercice permettra également aux personnels d’être plus aguerris avant leur déploiement en zone opérationnelle. Toujours dans le cadre de la manœuvre « Bouclier », plusieurs éléments de la Garde nationale bénéficient de renforcement de capacités dans différents domaines.
À la Brigade fluviale de Ladji à Cotonou, il était question d’intervention de sauvetage sur l’eau, d'exercices d’aguerrissement sur le site d’escalade des FAB à Dassa, les éléments étaient également sur la piste d’audace au camp militaire de Ouassa.
Cette manœuvre qui est interne à la Garde nationale bénéficie de l’appui aérien de l’armée de l’air, et du soutien des renseignements de la Police républicaine. Mieux, des experts de l’armée de terre, ceux de la Marine nationale, sont également de la partie pour évaluer les troupes engagées.
L’opération « Bouclier » connaîtra, dans son déroulé, une simulation d’interventions d’urgence en cas d’attaques terroristes, y compris la neutralisation d’individus armés et la sécurisation de lieux publics. L'opération "Bouclier" connaîtra son apothéose les jeudis 03 et vendredi 04 juillet 2025 avec une action médicale sociale de traitement de plusieurs affections et de distribution de produits pharmaceutiques, et une journée VIP.