Dans son discours d'ouverture, la directrice générale de la Maison nationale de la femme, Maïmouna Abdelkerim Kolbou, a souligné que les jeunes filles tchadiennes sont confrontées à de nombreux défis entravant leur épanouissement. Elle a noté que la scolarisation des enfants demeure un défi majeur au Tchad. Malgré les progrès réalisés au cours des deux dernières décennies, les indicateurs fondamentaux, en particulier pour les filles, restent préoccupants, comme le montrent les statistiques éducatives.
Le Représentant de l'UNICEF au Tchad, Jacques Boyer, a souligné que les filles sont souvent les premières victimes de violations des droits de l'enfant dans de nombreux pays. "Au Tchad, les filles sont confrontées à d'énormes obstacles pour atteindre leur plein potentiel. Elles sont encore loin d'avoir les mêmes droits que les garçons, subissent des discriminations basées sur leur genre et font face à des stigmatisations issues de la culture et de la société", a-t-il affirmé.
En inaugurant la Journée Internationale de la Jeune Fille, la ministre d'État, Ministre de la Femme, de la Protection de la Petite Enfance et de la Solidarité Nationale, Amina Priscille Longoh, a mis en avant les multiples défis auxquels les jeunes filles sont confrontées, notamment les tâches domestiques, les mutilations génitales féminines, les mariages précoces, les privations de toutes sortes et la discrimination. Elle a souligné la nécessité de changer de perspective pour offrir un environnement protecteur et propice au développement des capacités des jeunes filles. Elle a également rappelé que le thème choisi pour cette édition met en lumière la responsabilité des parents dans l'éducation des filles pour garantir l'avenir de l'humanité.
Le Représentant de l'UNICEF au Tchad, Jacques Boyer, a souligné que les filles sont souvent les premières victimes de violations des droits de l'enfant dans de nombreux pays. "Au Tchad, les filles sont confrontées à d'énormes obstacles pour atteindre leur plein potentiel. Elles sont encore loin d'avoir les mêmes droits que les garçons, subissent des discriminations basées sur leur genre et font face à des stigmatisations issues de la culture et de la société", a-t-il affirmé.
En inaugurant la Journée Internationale de la Jeune Fille, la ministre d'État, Ministre de la Femme, de la Protection de la Petite Enfance et de la Solidarité Nationale, Amina Priscille Longoh, a mis en avant les multiples défis auxquels les jeunes filles sont confrontées, notamment les tâches domestiques, les mutilations génitales féminines, les mariages précoces, les privations de toutes sortes et la discrimination. Elle a souligné la nécessité de changer de perspective pour offrir un environnement protecteur et propice au développement des capacités des jeunes filles. Elle a également rappelé que le thème choisi pour cette édition met en lumière la responsabilité des parents dans l'éducation des filles pour garantir l'avenir de l'humanité.