Kodmadjingar André, secrétaire exécutif de la Maison des Médias du Tchad, a souligné qu'au niveau mondial, plus de 300 journalistes ont perdu la vie en exerçant leur profession. D'autres se voient délibérément refuser l'accès aux sources d'information pour des raisons inavouées. Il a ensuite noté que, durant cette période de transition au Tchad, les libertés publiques et la sécurité des journalistes sont parfois mises à l'épreuve.
La protection de la presse indépendante ne semble pas toujours être une priorité pour les autorités de la transition, qui utilisent parfois les acteurs judiciaires et les forces de sécurité pour menacer, intimider et réduire au silence la presse indépendante. C'est pourquoi il est crucial d'informer et de sensibiliser les acteurs judiciaires et les forces de sécurité sur des questions liées à la lutte contre l'impunité des crimes contre les journalistes et à la liberté d'expression, a-t-il déclaré.
Serge Manassé, secrétaire général de l'Union des Journalistes Tchadiens, a souligné que l'ordonnance du 1er août représente un grave recul, car les acquis de 1993, à la sortie de la CNS, sont négligés. Cette question est au cœur des préoccupations de l'Union des Journalistes Tchadiens, qui souhaite que l'accès à l'information ne soit pas réservé uniquement aux professionnels des médias, mais qu'il soit un droit universel pour tous, conformément à la proclamation de l'Assemblée générale des Nations unies en date du 15 octobre 2019.
Le conseiller en communication et information de l'UNESCO, Nejib Mokni, a réaffirmé l'engagement de l'UNESCO à soutenir ce dialogue entre les différents acteurs en vue de promouvoir et renforcer la liberté d'expression et la formation au Tchad.
En lançant l'atelier, le secrétaire général du ministère de la Communication, Mbaidiguim Élon, a rappelé que tout ce qui circule sur les réseaux sociaux n'est pas nécessairement du journalisme. Il a souligné l'importance pour les journalistes d'exercer leur métier avec professionnalisme et responsabilité afin d'éviter de commettre des infractions.
La protection de la presse indépendante ne semble pas toujours être une priorité pour les autorités de la transition, qui utilisent parfois les acteurs judiciaires et les forces de sécurité pour menacer, intimider et réduire au silence la presse indépendante. C'est pourquoi il est crucial d'informer et de sensibiliser les acteurs judiciaires et les forces de sécurité sur des questions liées à la lutte contre l'impunité des crimes contre les journalistes et à la liberté d'expression, a-t-il déclaré.
Serge Manassé, secrétaire général de l'Union des Journalistes Tchadiens, a souligné que l'ordonnance du 1er août représente un grave recul, car les acquis de 1993, à la sortie de la CNS, sont négligés. Cette question est au cœur des préoccupations de l'Union des Journalistes Tchadiens, qui souhaite que l'accès à l'information ne soit pas réservé uniquement aux professionnels des médias, mais qu'il soit un droit universel pour tous, conformément à la proclamation de l'Assemblée générale des Nations unies en date du 15 octobre 2019.
Le conseiller en communication et information de l'UNESCO, Nejib Mokni, a réaffirmé l'engagement de l'UNESCO à soutenir ce dialogue entre les différents acteurs en vue de promouvoir et renforcer la liberté d'expression et la formation au Tchad.
En lançant l'atelier, le secrétaire général du ministère de la Communication, Mbaidiguim Élon, a rappelé que tout ce qui circule sur les réseaux sociaux n'est pas nécessairement du journalisme. Il a souligné l'importance pour les journalistes d'exercer leur métier avec professionnalisme et responsabilité afin d'éviter de commettre des infractions.