Fondateur du centre de santé Gueldanga, créé le 4 juillet 2003, Joël Mokembaye affirme traiter le VIH/Sida et d’autres maladies par des méthodes traditionnelles depuis plus de deux décennies. Selon lui, si son produit avait vu le jour dans un autre pays, il aurait déjà été transformé en médicament pharmaceutique au bénéfice de la population.
Cependant, au Tchad, déplore-t-il, ses méthodes restent largement rejetées par une partie du corps médical et certaines autorités. Il s’interroge sur ce qu’il qualifie de méfiance injustifiée, affirmant que nombre de responsables refusent de reconnaître l’efficacité de son traitement, malgré les résultats constatés.
Face à ce qu’il considère comme un blocage, Mokembaye Joël lance un appel au Président de la République, au Premier ministre et à l’Ordre des médecins du Tchad. Il propose d’être autorisé à prodiguer gratuitement des soins à des patients de l’Hôpital central de N’Djamena pendant deux jours. Il va même plus loin en s’engageant à traiter 100 malades du VIH/Sida pendant six mois, affirmant qu'au moins l’un d’entre eux connaîtra une guérison.
Mokembaye Joël estime par ailleurs que l’Ordre des médecins, qui régule la médecine moderne, ne devrait pas interférer dans la pratique des tradipraticiens. Il dénonce une « jalousie injustifiée » qui, selon lui, freine les avancées dans le domaine de la santé traditionnelle.
Il affirme ne chercher ni récompense ni gain matériel, mais appelle les autorités à expérimenter et, si les résultats sont concluants, à reconnaître officiellement l’efficacité de son produit traditionnel devant le peuple tchadien.
Cependant, au Tchad, déplore-t-il, ses méthodes restent largement rejetées par une partie du corps médical et certaines autorités. Il s’interroge sur ce qu’il qualifie de méfiance injustifiée, affirmant que nombre de responsables refusent de reconnaître l’efficacité de son traitement, malgré les résultats constatés.
Face à ce qu’il considère comme un blocage, Mokembaye Joël lance un appel au Président de la République, au Premier ministre et à l’Ordre des médecins du Tchad. Il propose d’être autorisé à prodiguer gratuitement des soins à des patients de l’Hôpital central de N’Djamena pendant deux jours. Il va même plus loin en s’engageant à traiter 100 malades du VIH/Sida pendant six mois, affirmant qu'au moins l’un d’entre eux connaîtra une guérison.
Mokembaye Joël estime par ailleurs que l’Ordre des médecins, qui régule la médecine moderne, ne devrait pas interférer dans la pratique des tradipraticiens. Il dénonce une « jalousie injustifiée » qui, selon lui, freine les avancées dans le domaine de la santé traditionnelle.
Il affirme ne chercher ni récompense ni gain matériel, mais appelle les autorités à expérimenter et, si les résultats sont concluants, à reconnaître officiellement l’efficacité de son produit traditionnel devant le peuple tchadien.