N'djamena - Le Ministère de la Justice et des Droits Humains du Tchad a émis une réponse aux déclarations récentes du porte-parole du Département d'État Américain, M. Matthew Miller, concernant les événements du 20 octobre 2022.
Le ministère a souligné que les déclarations du Département d'État semblaient biaisées et constituaient des injonctions au gouvernement tchadien pour ouvrir des enquêtes sur ces événements et traduire les auteurs en justice. Cependant, il a réaffirmé que, dans l'exercice de sa souveraineté et conformément aux lois nationales et internationales, le gouvernement tchadien avait déjà pris des mesures pour faire toute la lumière sur ces événements.
Des enquêtes ont été lancées dans les régions où des manifestations ont eu lieu, et les juridictions compétentes ont émis des décisions en toute indépendance. Certaines des personnes condamnées ont ensuite été graciées par le Président de Transition dans le cadre de sa politique de réconciliation nationale.
Le ministère de la Justice a rappelé que le processus judiciaire n'était pas à débattre dans l'espace public, mais qu'il devait se dérouler devant les instances appropriées. Toute personne affectée par ces événements a le droit de saisir les tribunaux pour faire valoir ses droits.
Le ministère a également souligné que plusieurs dossiers d'instruction liés aux événements du 20 octobre 2022 étaient en cours, actuellement entre les mains des cabinets d'instruction et de la police judiciaire. Il a insisté sur le fait que le gouvernement tchadien respectait la séparation des pouvoirs et ne s'ingérait pas dans le processus judiciaire.
Finalement, le ministère de la Justice a rappelé que, au-delà des déclarations du Département d'État, il n'accepterait pas de leçons de la part des États-Unis en ce qui concerne le traitement des affaires judiciaires et le respect des droits de l'homme.
Le ministère a souligné que les déclarations du Département d'État semblaient biaisées et constituaient des injonctions au gouvernement tchadien pour ouvrir des enquêtes sur ces événements et traduire les auteurs en justice. Cependant, il a réaffirmé que, dans l'exercice de sa souveraineté et conformément aux lois nationales et internationales, le gouvernement tchadien avait déjà pris des mesures pour faire toute la lumière sur ces événements.
Des enquêtes ont été lancées dans les régions où des manifestations ont eu lieu, et les juridictions compétentes ont émis des décisions en toute indépendance. Certaines des personnes condamnées ont ensuite été graciées par le Président de Transition dans le cadre de sa politique de réconciliation nationale.
Le ministère de la Justice a rappelé que le processus judiciaire n'était pas à débattre dans l'espace public, mais qu'il devait se dérouler devant les instances appropriées. Toute personne affectée par ces événements a le droit de saisir les tribunaux pour faire valoir ses droits.
Le ministère a également souligné que plusieurs dossiers d'instruction liés aux événements du 20 octobre 2022 étaient en cours, actuellement entre les mains des cabinets d'instruction et de la police judiciaire. Il a insisté sur le fait que le gouvernement tchadien respectait la séparation des pouvoirs et ne s'ingérait pas dans le processus judiciaire.
Finalement, le ministère de la Justice a rappelé que, au-delà des déclarations du Département d'État, il n'accepterait pas de leçons de la part des États-Unis en ce qui concerne le traitement des affaires judiciaires et le respect des droits de l'homme.