M. DIAW devient ainsi le premier docteur ayant préparé sa thèse au sein du Groupe interdisciplinaire de recherche sur les médias et la communication (GIRMEC), le laboratoire de recherche du CESTI de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD).
Après délibérations, la mention « Très honorable » a été décernée à M. Abdou DIAW. Durant leur prise de parole, les différents membres du jury, constitués d’éminents Professeurs, ont salué « l’originalité » du travail de M. DIAW qui, d’après eux, « apporte une contribution certaine dans l’avancement des connaissances dans un domaine jusque-là peu étudié : l’économie des médias ».
En effet, dans ce document de plus de 400 pages, Abdou Diaw, après avoir passé en revue la stratégie d’adaptation de ces deux quotidiens au numérique (création de sites web, utilisation des réseaux sociaux…), démontre la résilience du papier dont certains prédisaient la mort. Mais c’est surtout l’étude des médias sous l’angle économique qui a attiré l’attention du jury, soulignant l’originalité d’une telle approche.
Ce travail de recherche, dans une démarche comparative, se propose d’étudier le processus d’adaptation de la presse écrite au Sénégal dans l’écosystème du numérique avec deux quotidiens choisis : Le Soleil et l’Observateur.
« Qu’il s’agisse du mode de collecte, de traitement, de diffusion et de distribution de l’information, tous ces maillons subissent d’importantes mutations dues à une forte percée des services du digital dans les médias au Sénégal », a relevé Abdou DIAW.
Il est ressorti des résultats de ses travaux de recherches basés sur une approche méthodologique mixte qu’en dépit de ces changements, le modèle économique des deux entreprises de presse sénégalaises (Le Soleil et l’Observateur), n’a pas été fondamentalement remis en cause. Car ce modèle, qui repose essentiellement sur le triptyque : vente au numéro, publicité et aide à la presse, continue de résister.
Abdou DIAW conclut: « Quoi qu’il en soit, il reste encore du chemin à faire pour la presse écrite sénégalaise qui, comparée à celle d’autres pays, n’a pas encore réussi à exploiter pleinement les opportunités offertes par la transformation digitale ».
Après délibérations, la mention « Très honorable » a été décernée à M. Abdou DIAW. Durant leur prise de parole, les différents membres du jury, constitués d’éminents Professeurs, ont salué « l’originalité » du travail de M. DIAW qui, d’après eux, « apporte une contribution certaine dans l’avancement des connaissances dans un domaine jusque-là peu étudié : l’économie des médias ».
En effet, dans ce document de plus de 400 pages, Abdou Diaw, après avoir passé en revue la stratégie d’adaptation de ces deux quotidiens au numérique (création de sites web, utilisation des réseaux sociaux…), démontre la résilience du papier dont certains prédisaient la mort. Mais c’est surtout l’étude des médias sous l’angle économique qui a attiré l’attention du jury, soulignant l’originalité d’une telle approche.
Ce travail de recherche, dans une démarche comparative, se propose d’étudier le processus d’adaptation de la presse écrite au Sénégal dans l’écosystème du numérique avec deux quotidiens choisis : Le Soleil et l’Observateur.
« Qu’il s’agisse du mode de collecte, de traitement, de diffusion et de distribution de l’information, tous ces maillons subissent d’importantes mutations dues à une forte percée des services du digital dans les médias au Sénégal », a relevé Abdou DIAW.
Il est ressorti des résultats de ses travaux de recherches basés sur une approche méthodologique mixte qu’en dépit de ces changements, le modèle économique des deux entreprises de presse sénégalaises (Le Soleil et l’Observateur), n’a pas été fondamentalement remis en cause. Car ce modèle, qui repose essentiellement sur le triptyque : vente au numéro, publicité et aide à la presse, continue de résister.
Abdou DIAW conclut: « Quoi qu’il en soit, il reste encore du chemin à faire pour la presse écrite sénégalaise qui, comparée à celle d’autres pays, n’a pas encore réussi à exploiter pleinement les opportunités offertes par la transformation digitale ».