Depuis 1945, le système mondial d'organisation des relations internationales a été bâti pour assurer la paix, la sécurité et la prospérité à tous les peuples de la terre. Mais, la frontière entre la paix et la guerre demeure toutefois fragile.
Ainsi, devant l’Assemblée générale de l’ONU, le chef de l’Etat congolais, président du comité de haut niveau de l’Union africaine sur la Libye et membre de l’initiative africaine sur la crise russo-ukrainienne, a martelé sur rétablissement de la paix dans le monde comme l’une préoccupations faisant partie des priorités dans le monde d’aujourd’hui.
La paix et la stabilité en Libye
Denis Sassou N’Guesso a relevé que le thème du débat général, à savoir : Restaurer la confiance et raviver la solidarité mondiale : accélérer l'action sur le Programme 2030 et ses objectifs de développement durable en faveur de la paix, de la prospérité, du progrès et de la durabilité pour tous, « résumait clairement la volonté commune des dirigeants à changer qualitativement le monde ».
Sur cette base, les catastrophes naturelles qui ont fortement endeuillé les peuples du Maroc et de Libye ont suscité du chef de l’Etat congolais, l’expression de « compassion fraternelle » et solidarité avec ces peuples frères.
Au sujet de la Libye, Denis Sassou N’Guesso s’est référé au rapport qui lui a été fait par la mission de paix et de réconciliation de l’Union Africaine. Le rapport de cette mission a mis en exergue le courage et la résilience du peuple libyen lassé de vivre dans la division.
En sa qualité de président du comité de haut niveau de l’Union Africaine sur la Libye, le chef de l’Etat congolais a lancé un appel à la communauté internationale pour qu’elle accompagne les efforts de l’UA afin qu’aboutisse le processus de réconciliation inter-libyenne, enclenché à Brazzaville, en juillet 2023. « J’en appelle, une fois encore, à l’accompagnement de la communauté internationale, à commencer par les pays de la sous-région et les organisations qui les regroupent, sans oublier les pays dits du Quartet, en vue d’un soutien concret à nos efforts, afin d’ouvrir une perspective solide et crédible à la résolution définitive de cette crise qui n’a que trop duré », a déclaré Denis Sassou-N’Guesso.
Pour lui, cette étape, jugée salutaire par l’Union Africaine, « permettra à la Libye de privilégier le dialogue et de retrouver la voie de la stabilité, de la paix et de la réconciliation nationale ». C’est un « meilleur préalable à la tenue des élections générales dans ce pays », a soutenu Denis Sassou N’Guesso.
Négociations pour la fin de la crise crise russo-ukrainienne
La crise entre la Russie et l’Ukraine a occasionné des conséquences multiples surtout en Afrique. Elle a également occupé une place de choix dans l’intervention du président Denis Sassou-N’Guesso à l’Assemblée générale des Nations Unies. Le chef de l’Etat congolais a relevé l’importance de la paix dans le processus de réalisation des objectifs de développement durable.
Il a rappelé l'engagement sans relâche de son pays pour la préservation de la paix dans le monde. « […] chaque fois que les circonstances l’ont permis, la République du Congo a toujours œuvré pour la résolution pacifique des conflits en Afrique et dans le monde », a clamé Denis Sassou-N’Guesso avant d'expliquer pourquoi son pays « a décidé de prendre une part active à l’Initiative africaine pour une médiation de paix entre la Russie et l’Ukraine ». Une initiative qui n’est ni à ignorer ni à négliger, a insisté le chef de l’Etat congolais.
La crise russo-ukrainienne fait peser sur le monde le risque d’une guerre généralisée, s’est inquiété Denis Sassou-N’Guesso qui a invité tous les protagonistes dans ce conflit à tempérer leurs ardeurs, cesser d’attiser les braises et s’engager, sans délai, dans des négociations de paix. « Des négociations qu’il a souhaitées « justes, sincères et équitables ».
Le président Denis Sassou-N’Guesso a également fait observer que « le monde a urgemment besoin de ces négociations, pour éviter que les affrontements en cours, déjà si dévastateurs, n’aillent encore crescendo et fassent basculer l’humanité dans ce qui pourrait être un cataclysme irrémédiable, c’est-à-dire une guerre totale et qui échapperait au contrôle des grandes puissances elles-mêmes ».
Le président de la République du Congo « reste persuadé que les sages recommandations formulées par l’Afrique pour restaurer la paix entre l’Ukraine et la Russie finiront par être prises en compte ».
L’allocution du président Denis Sassou-N’Guesso devant l’Assemblée générale des Nations Unies a été un réel plaidoyer en faveur de l’Afrique et du monde, pour faire progresser la paix, la sécurité et le développement durable.
Ainsi, devant l’Assemblée générale de l’ONU, le chef de l’Etat congolais, président du comité de haut niveau de l’Union africaine sur la Libye et membre de l’initiative africaine sur la crise russo-ukrainienne, a martelé sur rétablissement de la paix dans le monde comme l’une préoccupations faisant partie des priorités dans le monde d’aujourd’hui.
La paix et la stabilité en Libye
Denis Sassou N’Guesso a relevé que le thème du débat général, à savoir : Restaurer la confiance et raviver la solidarité mondiale : accélérer l'action sur le Programme 2030 et ses objectifs de développement durable en faveur de la paix, de la prospérité, du progrès et de la durabilité pour tous, « résumait clairement la volonté commune des dirigeants à changer qualitativement le monde ».
Sur cette base, les catastrophes naturelles qui ont fortement endeuillé les peuples du Maroc et de Libye ont suscité du chef de l’Etat congolais, l’expression de « compassion fraternelle » et solidarité avec ces peuples frères.
Au sujet de la Libye, Denis Sassou N’Guesso s’est référé au rapport qui lui a été fait par la mission de paix et de réconciliation de l’Union Africaine. Le rapport de cette mission a mis en exergue le courage et la résilience du peuple libyen lassé de vivre dans la division.
En sa qualité de président du comité de haut niveau de l’Union Africaine sur la Libye, le chef de l’Etat congolais a lancé un appel à la communauté internationale pour qu’elle accompagne les efforts de l’UA afin qu’aboutisse le processus de réconciliation inter-libyenne, enclenché à Brazzaville, en juillet 2023. « J’en appelle, une fois encore, à l’accompagnement de la communauté internationale, à commencer par les pays de la sous-région et les organisations qui les regroupent, sans oublier les pays dits du Quartet, en vue d’un soutien concret à nos efforts, afin d’ouvrir une perspective solide et crédible à la résolution définitive de cette crise qui n’a que trop duré », a déclaré Denis Sassou-N’Guesso.
Pour lui, cette étape, jugée salutaire par l’Union Africaine, « permettra à la Libye de privilégier le dialogue et de retrouver la voie de la stabilité, de la paix et de la réconciliation nationale ». C’est un « meilleur préalable à la tenue des élections générales dans ce pays », a soutenu Denis Sassou N’Guesso.
Négociations pour la fin de la crise crise russo-ukrainienne
La crise entre la Russie et l’Ukraine a occasionné des conséquences multiples surtout en Afrique. Elle a également occupé une place de choix dans l’intervention du président Denis Sassou-N’Guesso à l’Assemblée générale des Nations Unies. Le chef de l’Etat congolais a relevé l’importance de la paix dans le processus de réalisation des objectifs de développement durable.
Il a rappelé l'engagement sans relâche de son pays pour la préservation de la paix dans le monde. « […] chaque fois que les circonstances l’ont permis, la République du Congo a toujours œuvré pour la résolution pacifique des conflits en Afrique et dans le monde », a clamé Denis Sassou-N’Guesso avant d'expliquer pourquoi son pays « a décidé de prendre une part active à l’Initiative africaine pour une médiation de paix entre la Russie et l’Ukraine ». Une initiative qui n’est ni à ignorer ni à négliger, a insisté le chef de l’Etat congolais.
La crise russo-ukrainienne fait peser sur le monde le risque d’une guerre généralisée, s’est inquiété Denis Sassou-N’Guesso qui a invité tous les protagonistes dans ce conflit à tempérer leurs ardeurs, cesser d’attiser les braises et s’engager, sans délai, dans des négociations de paix. « Des négociations qu’il a souhaitées « justes, sincères et équitables ».
Le président Denis Sassou-N’Guesso a également fait observer que « le monde a urgemment besoin de ces négociations, pour éviter que les affrontements en cours, déjà si dévastateurs, n’aillent encore crescendo et fassent basculer l’humanité dans ce qui pourrait être un cataclysme irrémédiable, c’est-à-dire une guerre totale et qui échapperait au contrôle des grandes puissances elles-mêmes ».
Le président de la République du Congo « reste persuadé que les sages recommandations formulées par l’Afrique pour restaurer la paix entre l’Ukraine et la Russie finiront par être prises en compte ».
L’allocution du président Denis Sassou-N’Guesso devant l’Assemblée générale des Nations Unies a été un réel plaidoyer en faveur de l’Afrique et du monde, pour faire progresser la paix, la sécurité et le développement durable.