
Maçon expérimenté et reconnu pour son travail de qualité, Djim se retrouve derrière les barreaux, après avoir été accusé d'escroquerie et d'abus de confiance. Son histoire commence lorsqu'un de ses employeurs lui confie la construction d'une chambre, salon et d'une cuisine.
Djim reçoit une somme de 480 000 FCFA pour l'achat de 4 000 briques cuites et les frais de transport nécessaires pour démarrer le chantier. Cependant, au lieu d'effectuer l'achat auprès d'un fournisseur fiable, Djim se laisse berner par un inconnu qui prétend être le vendeur de briques cuites à un prix beaucoup plus avantageux.
Sous l'effet de la tentation, il remet une somme de 400 000 FCFA à cet inconnu, croyant ainsi réaliser des économies considérables. Malheureusement, l'inconnu profite de la situation pour l'entraîner dans un piège. Il emmène Djim dans un quartier éloigné, prétendant y avoir les briques disponibles, mais en réalité, il se volatilise.
Djim se retrouve seul, appelant en vain le numéro de téléphone de l'inconnu qui ne fonctionne pas. Il constate également que cet individu n'a pas payé la note des boissons et du poisson braisé qu'ils ont consommés. Perdu et désemparé, Djim retourne sur le chantier où ses ouvriers l'attendent en vain. Ne sachant que faire, il décide de ne pas se présenter le lendemain non plus.
Son patron s'inquiète et l'appelle pour obtenir des explications, mais Djim tente de lui expliquer la situation en vain. Son patron refuse de le croire. Depuis vendredi, Djim se trouve enfermé dans un commissariat, en attente de son procès lundi pour escroquerie et abus de confiance.
La question se pose alors : qui est réellement responsable, Djim ou son patron ? Les citoyens sont avertis de faire preuve de vigilance, car N'Djamena est devenue ces derniers temps, le théâtre de nombreux phénomènes d'escroquerie.
Djim reçoit une somme de 480 000 FCFA pour l'achat de 4 000 briques cuites et les frais de transport nécessaires pour démarrer le chantier. Cependant, au lieu d'effectuer l'achat auprès d'un fournisseur fiable, Djim se laisse berner par un inconnu qui prétend être le vendeur de briques cuites à un prix beaucoup plus avantageux.
Sous l'effet de la tentation, il remet une somme de 400 000 FCFA à cet inconnu, croyant ainsi réaliser des économies considérables. Malheureusement, l'inconnu profite de la situation pour l'entraîner dans un piège. Il emmène Djim dans un quartier éloigné, prétendant y avoir les briques disponibles, mais en réalité, il se volatilise.
Djim se retrouve seul, appelant en vain le numéro de téléphone de l'inconnu qui ne fonctionne pas. Il constate également que cet individu n'a pas payé la note des boissons et du poisson braisé qu'ils ont consommés. Perdu et désemparé, Djim retourne sur le chantier où ses ouvriers l'attendent en vain. Ne sachant que faire, il décide de ne pas se présenter le lendemain non plus.
Son patron s'inquiète et l'appelle pour obtenir des explications, mais Djim tente de lui expliquer la situation en vain. Son patron refuse de le croire. Depuis vendredi, Djim se trouve enfermé dans un commissariat, en attente de son procès lundi pour escroquerie et abus de confiance.
La question se pose alors : qui est réellement responsable, Djim ou son patron ? Les citoyens sont avertis de faire preuve de vigilance, car N'Djamena est devenue ces derniers temps, le théâtre de nombreux phénomènes d'escroquerie.