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Tchad : La censure faite à Alwihda !
Le récent amalgame fait au préjudice du journal Alwihda en le censurant au même titre que les autres journaux et blogs jugés proches de l’opposition et surtout des défunts mouvements armés. Cette confuse met à mal l’image d’Alwihda qui se veut un journal indépendant libéré de toute « obédience » politique, confessionnelle ou régionale. Tout en respectant avec déférence, la décision des uns et des autres à faire le choix de leur engagement politique et de leur ligne éditoriale. Alwihda se dissocie de tout organe qui fait sa marque de commerce, l’appel à la haine, à l’exclusion et faisant l’apologie de la violence comme moyen de revendications politiques. Il ne veut non plus s’engager dans le train bringuebalant et clopinant du monopole des mensonges, d’endoctrinement et de désinformations. Il ne veut non plus être le « metteur de l’huile » dans le feu pour alimenter la haine, les exacerbations et les susceptibilités. Il ne sera pas une passerelle pour nuire au Tchad et son peuple, mais plutôt un vecteur de bienséances et de discours réunificateurs et pacifistes.
Face à toutes les difficultés, Alwihda a été et sera toujours le journal de tous les Tchadiens sans considération de leur appartenance idéologique, confessionnelle et régionale. Notre journal est la tribune de tous ceux qui veulent avoir des informations véridiques sans fumisteries, démagogies, menteries, manipulations, dénigrements, appels à la haine, à la division et l’exacerbation des différences, etc. Alwihda ne s’est jamais laisser dicter la marche à suivre par quelques groupes ou individus que soient. Il entend poursuivre inexorablement sa route en respectant sa mission première : informer sans déformer!
Alwihda tient jalousement à son image première, celle qui fait de notre journal le pionner des journaux tchadiens en ligne qui veulent transmettre fidèlement les informations sans les écorner ou les manipuler pour plaire ou satisfaire un groupe d’individus ou faire l’apologie de la haine, de l’exclusion et de la violence. Alwihda ne veut pas faire partie du tohu-bohu des sorcières ni nager dans la mare saumâtre et fétide de la désinformation et des tribuns de la division et de la négation de la réalité de notre pays. Il ne sera jamais une marionnette ou une girouette bougeant au grand plaisir des loups tapis sous l’ombre de la haine et de la décohésion nationale. Il ne logera pas à la même enseigne que les sceptiques à la vision d’un Tchad fort, uni, pacifique et prospère. Il est un devoir sacré de mettre tous la main dans la pate pour construire notre pays. Chacun doit impérieusement apporter sa pierre modeste soit-elle dans l’édification du Tchad et non rester en retrait en creusant frénétiquement dans le dessein machiavélique de faire tomber l’ « Édifice-Tchad ».
Nous déplorons avec fermeté que le Ministère de la communication se permette le loisir d’étiqueter Alwihda comme un journal allant à l’encontre de l’éthique et de la déontologie de l’information. Consciencieux, respectueux des droits et libertés, Alwihda connait les limites d’actions qui sont les siennes. Contrairement aux autres, le journal n’avait jamais appelé à la haine ni fait un plaidoyer guerrier en faveur d’une situation désastreuse au Tchad. Il ne fait pas de la démagogie, des injures, des dénigrements et de la désinformation comme pierre angulaire de sa ligne éditoriale. Il entend ne pas se laisser tirer le vers du nez, en allant encore davantage dans sa quête insatiable de la vérité et d’une information brute sans aucune manipulation partisane.
Alwihda n’entend pas non plus ouvrir ses colonnes à des appels haineux et à la manipulation des consciences. Il tient avec à la dernière énergie à préserver sa crédibilité sans jeter l’anathème, la confusion et la désinformation au sein de son lectorat. Par la fermeté de sa ligne éditoriale, il a su depuis plus d’une décennie fidéliser ses lecteurs qui sont devenus à la longue sa partie intégrante avec une symbiose inébranlable. Notre leitmotiv est de dénoncer toute dérive visant à encorner la liberté d’expression et de la presse. Car, il n’y a pas de Démocratie sans Liberté d’expression et pas de Liberté d’expression sans Démocratie. Alwihda ne peut accepter et n’acceptera jamais d’être le bouc émissaire de qui que ce soit, ni une plate forme jetant la confusion et le doute dans la tête de ses lecteurs.
Moussa Guetane Moussa
Face à toutes les difficultés, Alwihda a été et sera toujours le journal de tous les Tchadiens sans considération de leur appartenance idéologique, confessionnelle et régionale. Notre journal est la tribune de tous ceux qui veulent avoir des informations véridiques sans fumisteries, démagogies, menteries, manipulations, dénigrements, appels à la haine, à la division et l’exacerbation des différences, etc. Alwihda ne s’est jamais laisser dicter la marche à suivre par quelques groupes ou individus que soient. Il entend poursuivre inexorablement sa route en respectant sa mission première : informer sans déformer!
Alwihda tient jalousement à son image première, celle qui fait de notre journal le pionner des journaux tchadiens en ligne qui veulent transmettre fidèlement les informations sans les écorner ou les manipuler pour plaire ou satisfaire un groupe d’individus ou faire l’apologie de la haine, de l’exclusion et de la violence. Alwihda ne veut pas faire partie du tohu-bohu des sorcières ni nager dans la mare saumâtre et fétide de la désinformation et des tribuns de la division et de la négation de la réalité de notre pays. Il ne sera jamais une marionnette ou une girouette bougeant au grand plaisir des loups tapis sous l’ombre de la haine et de la décohésion nationale. Il ne logera pas à la même enseigne que les sceptiques à la vision d’un Tchad fort, uni, pacifique et prospère. Il est un devoir sacré de mettre tous la main dans la pate pour construire notre pays. Chacun doit impérieusement apporter sa pierre modeste soit-elle dans l’édification du Tchad et non rester en retrait en creusant frénétiquement dans le dessein machiavélique de faire tomber l’ « Édifice-Tchad ».
Nous déplorons avec fermeté que le Ministère de la communication se permette le loisir d’étiqueter Alwihda comme un journal allant à l’encontre de l’éthique et de la déontologie de l’information. Consciencieux, respectueux des droits et libertés, Alwihda connait les limites d’actions qui sont les siennes. Contrairement aux autres, le journal n’avait jamais appelé à la haine ni fait un plaidoyer guerrier en faveur d’une situation désastreuse au Tchad. Il ne fait pas de la démagogie, des injures, des dénigrements et de la désinformation comme pierre angulaire de sa ligne éditoriale. Il entend ne pas se laisser tirer le vers du nez, en allant encore davantage dans sa quête insatiable de la vérité et d’une information brute sans aucune manipulation partisane.
Alwihda n’entend pas non plus ouvrir ses colonnes à des appels haineux et à la manipulation des consciences. Il tient avec à la dernière énergie à préserver sa crédibilité sans jeter l’anathème, la confusion et la désinformation au sein de son lectorat. Par la fermeté de sa ligne éditoriale, il a su depuis plus d’une décennie fidéliser ses lecteurs qui sont devenus à la longue sa partie intégrante avec une symbiose inébranlable. Notre leitmotiv est de dénoncer toute dérive visant à encorner la liberté d’expression et de la presse. Car, il n’y a pas de Démocratie sans Liberté d’expression et pas de Liberté d’expression sans Démocratie. Alwihda ne peut accepter et n’acceptera jamais d’être le bouc émissaire de qui que ce soit, ni une plate forme jetant la confusion et le doute dans la tête de ses lecteurs.
Moussa Guetane Moussa
