Parmi les opérations les plus notables, on compte l'interpellation de présumés faussaires, de trafiquants de drogues, de voleurs à main armée, ainsi que la présentation publique de plusieurs malfaiteurs. Cette réactivité exemplaire a généré une vague de félicitations sur les réseaux sociaux.
"Bravo aux autorités en charge de la sécurité. Professionnalisme + patriotisme = progrès", s’exclame Ibni Malick.
"Mes sincères félicitations aux forces de l'ordre pour le travail abattu et au porte-parole de la police nationale tchadienne, le contrôleur général Paul Manga", ajoute Noumbele.
Nombreux sont ceux qui saluent la rigueur et le professionnalisme des agents. Moussa parle d'un "travail scientifique et professionnel", tandis que Mohamed Djabar décrit une "intervention impeccable".
Pour certains, ces efforts méritent des récompenses : "Il leur faut nécessairement des promotions en guise de récompense", propose Oumar Abakar, qui appelle aussi à juger les présumés malfrats "en toute sérénité".
Des citoyens souhaitent voir cette efficacité étendue aux autres régions du pays. Nã Gontchome espère une "même ardeur dans le Mayo-Kebbi Ouest pour enrayer les enlèvements contre rançon".
L’idée de peines exemplaires revient régulièrement : Mahamat Senoussi et Alain Dillah plaident pour des transferts à Koro Toro, établissement pénitentiaire de haute sécurité.
Zita Laokolè souhaite que "Dieu aide [les policiers] dans leurs multiples tâches", et Appolinaire Kebzahbo déclare : "Vous représentez l'image de ce pays".
Certains évoquent aussi l'exemple de la RDC pour mettre fin définitivement aux actes d'insécurité, comme le suggère Roger Tchaïné.
Le contrôleur Paul Manga, très cité dans les commentaires, est salué pour sa transparence : "Merci pour vous Paul Manga", lance Djibrinemali Nour. Kaoussara Tahir le qualifie de "meilleur", saluant son "travail impeccable".
"Merci beaucoup police nationale, je vous remercie et bon courage", écrit Abdoulage Godi, pendant que d'autres, comme Nathalie Maïfrigui ou Mahamat Abdou, affirment leur soutien inconditionnel aux forces de l'ordre.
La sécurité, plus qu'une obligation régalienne, devient un pacte moral entre population et forces de l'ordre. Et dans ce combat, le peuple tchadien semble bien décidé à jouer pleinement sa partition.
"Bravo aux autorités en charge de la sécurité. Professionnalisme + patriotisme = progrès", s’exclame Ibni Malick.
"Mes sincères félicitations aux forces de l'ordre pour le travail abattu et au porte-parole de la police nationale tchadienne, le contrôleur général Paul Manga", ajoute Noumbele.
Nombreux sont ceux qui saluent la rigueur et le professionnalisme des agents. Moussa parle d'un "travail scientifique et professionnel", tandis que Mohamed Djabar décrit une "intervention impeccable".
Pour certains, ces efforts méritent des récompenses : "Il leur faut nécessairement des promotions en guise de récompense", propose Oumar Abakar, qui appelle aussi à juger les présumés malfrats "en toute sérénité".
Des citoyens souhaitent voir cette efficacité étendue aux autres régions du pays. Nã Gontchome espère une "même ardeur dans le Mayo-Kebbi Ouest pour enrayer les enlèvements contre rançon".
L’idée de peines exemplaires revient régulièrement : Mahamat Senoussi et Alain Dillah plaident pour des transferts à Koro Toro, établissement pénitentiaire de haute sécurité.
Zita Laokolè souhaite que "Dieu aide [les policiers] dans leurs multiples tâches", et Appolinaire Kebzahbo déclare : "Vous représentez l'image de ce pays".
Certains évoquent aussi l'exemple de la RDC pour mettre fin définitivement aux actes d'insécurité, comme le suggère Roger Tchaïné.
Le contrôleur Paul Manga, très cité dans les commentaires, est salué pour sa transparence : "Merci pour vous Paul Manga", lance Djibrinemali Nour. Kaoussara Tahir le qualifie de "meilleur", saluant son "travail impeccable".
"Merci beaucoup police nationale, je vous remercie et bon courage", écrit Abdoulage Godi, pendant que d'autres, comme Nathalie Maïfrigui ou Mahamat Abdou, affirment leur soutien inconditionnel aux forces de l'ordre.
La sécurité, plus qu'une obligation régalienne, devient un pacte moral entre population et forces de l'ordre. Et dans ce combat, le peuple tchadien semble bien décidé à jouer pleinement sa partition.