Dans son discours d’ouverture, Dr Hassan Mahamat Idriss, Directeur général du CEPROS, a rappelé que le CEPROS est un centre de réflexion et de recherche, producteur d’études et d’analyses, fonctionnant comme un think tank associatif de droit tchadien. Il a souligné que cette conférence répond à un besoin réel de valoriser la communication institutionnelle, à travers les canaux traditionnels mais surtout les réseaux sociaux, devenus des outils incontournables dans la diffusion d’informations.
Face aux défis sécuritaires et aux enjeux liés au changement climatique dans la région, il a plaidé pour une communication publique à la fois éthique, responsable et fédératrice, qui vise à mobiliser les citoyens autour de l’action publique, sans être confondue avec la communication politique partisane.
Plusieurs intervenants de haut niveau ont pris la parole pour partager leurs expertises. La Sénatrice Achta Saleh Damane a affirmé que : « La communication constitue une passerelle entre les gouvernants et les gouvernés. »
Quant à Dr Ndiltah Patrick, enseignant-chercheur et chef de département des sciences et techniques de l’information et de la communication à l’Université de N’Djamena, il a insisté sur la nécessité de doter les institutions de moyens adéquats :
« Pour qu’elle soit efficace, la communication publique nécessite des moyens financiers, matériels et humains. »
Recommandations à l'État
Au terme des échanges, les conférenciers, par le biais du CEPROS, ont formulé plusieurs recommandations à l’endroit de l’État tchadien : Élaborer une stratégie de communication claire et adaptée pour mieux relever les défis actuels, notamment la lutte contre les fausses informations sur les réseaux sociaux ; Institutionnaliser la communication à tous les niveaux de l’administration publique afin de renforcer la transparence et informer efficacement les citoyens sur les politiques mises en œuvre.
Face aux défis sécuritaires et aux enjeux liés au changement climatique dans la région, il a plaidé pour une communication publique à la fois éthique, responsable et fédératrice, qui vise à mobiliser les citoyens autour de l’action publique, sans être confondue avec la communication politique partisane.
Plusieurs intervenants de haut niveau ont pris la parole pour partager leurs expertises. La Sénatrice Achta Saleh Damane a affirmé que : « La communication constitue une passerelle entre les gouvernants et les gouvernés. »
Quant à Dr Ndiltah Patrick, enseignant-chercheur et chef de département des sciences et techniques de l’information et de la communication à l’Université de N’Djamena, il a insisté sur la nécessité de doter les institutions de moyens adéquats :
« Pour qu’elle soit efficace, la communication publique nécessite des moyens financiers, matériels et humains. »
Recommandations à l'État
Au terme des échanges, les conférenciers, par le biais du CEPROS, ont formulé plusieurs recommandations à l’endroit de l’État tchadien : Élaborer une stratégie de communication claire et adaptée pour mieux relever les défis actuels, notamment la lutte contre les fausses informations sur les réseaux sociaux ; Institutionnaliser la communication à tous les niveaux de l’administration publique afin de renforcer la transparence et informer efficacement les citoyens sur les politiques mises en œuvre.