Le secrétaire général du département de Bahr-Azoum, Djido Ali Abatcha, représentant l’autorité provinciale, a officiellement lancé ce mardi 29 juillet 2025 à Am-Timan, un atelier de formation axé sur la sauvegarde sociale, la gestion des plaintes et les conflits entre l’homme et la faune sauvage.
Au Tchad, ces conflits sont en nette augmentation, surtout dans les zones proches des aires protégées. Intrusions d’animaux sauvages, destruction de cultures, pertes humaines et animales…, les conséquences sont lourdes pour les communautés locales.
Dans son mot de bienvenue, Hounsemon Ibrahim, représentant du directeur général du Parc national de Zakouma, a rappelé que cet atelier vise à outiller les acteurs communautaires et institutionnels pour mieux gérer ces situations et protéger les populations.
En ouvrant les travaux, Djido Ali Abatcha a pointé du doigt les causes profondes qui, selon lui, sont la raréfaction des ressources naturelles, la sécheresse et l'extension agricole, etc., autant de facteurs qui fragilisent la coexistence entre humains et faune. Il a souligné les solutions envisagées qui sont la sensibilisation, la compensation des pertes, la délimitation des zones protégées, et surtout, la promotion d’une cohabitation pacifique.
35 participants (autorités administratives, représentants communautaires et membres de la société civile), prennent part à cette session riche en échanges et en apprentissages.
Au Tchad, ces conflits sont en nette augmentation, surtout dans les zones proches des aires protégées. Intrusions d’animaux sauvages, destruction de cultures, pertes humaines et animales…, les conséquences sont lourdes pour les communautés locales.
Dans son mot de bienvenue, Hounsemon Ibrahim, représentant du directeur général du Parc national de Zakouma, a rappelé que cet atelier vise à outiller les acteurs communautaires et institutionnels pour mieux gérer ces situations et protéger les populations.
En ouvrant les travaux, Djido Ali Abatcha a pointé du doigt les causes profondes qui, selon lui, sont la raréfaction des ressources naturelles, la sécheresse et l'extension agricole, etc., autant de facteurs qui fragilisent la coexistence entre humains et faune. Il a souligné les solutions envisagées qui sont la sensibilisation, la compensation des pertes, la délimitation des zones protégées, et surtout, la promotion d’une cohabitation pacifique.
35 participants (autorités administratives, représentants communautaires et membres de la société civile), prennent part à cette session riche en échanges et en apprentissages.