La Coordination de la plateforme du Réseau des Évangélistes du Tchad (REMIT) a adressé, ce dimanche, une lettre au président de la République pour solliciter son intervention en faveur de huit évangélistes chrétiens arrêtés par la Direction Générale des Renseignements Intérieurs (DGRI). Ces hommes de foi sont détenus depuis plus d’un mois alors qu’ils étaient en mission spirituelle à Sabangali, dans le strict cadre de leur vocation d’annonce de la paix, de la foi et de l’amour du prochain.
Selon REMIT, ces évangélistes sont reconnus pour leur engagement pacifique et leur respect des lois de la République. « Ils ne tiennent aucun discours de haine ni d’incitation à la violence. Bien au contraire, ils prônent l’unité, la cohésion sociale et le vivre-ensemble dans toutes leurs actions », affirme la coordination.
Le coordinateur de REMIT, l’évangéliste Ojimadoum Ngakoutou, exprime sa vive inquiétude : « Leur arrestation prolongée suscite une grande inquiétude au sein de la communauté chrétienne, tant au niveau national qu’international. Elle provoque également un profond désarroi au sein des familles et des églises auxquelles ils appartiennent. »
Convaincu de l’attachement du président de la République à la justice, à la paix, aux droits humains et à la liberté religieuse — tels que garantis par la Constitution —, REMIT lance un appel solennel : « C’est pourquoi nous faisons humblement appel à votre haute autorité, afin que vous interveniez personnellement pour la libération de ces serviteurs de Dieu, ou, à tout le moins, pour que leur dossier soit examiné avec diligence et équité par les autorités judiciaires compétentes », a plaidé le coordinateur.
Selon REMIT, ces évangélistes sont reconnus pour leur engagement pacifique et leur respect des lois de la République. « Ils ne tiennent aucun discours de haine ni d’incitation à la violence. Bien au contraire, ils prônent l’unité, la cohésion sociale et le vivre-ensemble dans toutes leurs actions », affirme la coordination.
Le coordinateur de REMIT, l’évangéliste Ojimadoum Ngakoutou, exprime sa vive inquiétude : « Leur arrestation prolongée suscite une grande inquiétude au sein de la communauté chrétienne, tant au niveau national qu’international. Elle provoque également un profond désarroi au sein des familles et des églises auxquelles ils appartiennent. »
Convaincu de l’attachement du président de la République à la justice, à la paix, aux droits humains et à la liberté religieuse — tels que garantis par la Constitution —, REMIT lance un appel solennel : « C’est pourquoi nous faisons humblement appel à votre haute autorité, afin que vous interveniez personnellement pour la libération de ces serviteurs de Dieu, ou, à tout le moins, pour que leur dossier soit examiné avec diligence et équité par les autorités judiciaires compétentes », a plaidé le coordinateur.