Après 72 ans d’existence, la JEA lance enfin ce qu’elle qualifie d’« évènement de taille, un évènement historique », selon les mots du président du jury, Abdou Zakaria Bessengué. La compétition, articulée autour du thème « La JEA d’hier est-elle meilleure que celle d’aujourd’hui ? », a permis aux participants de s’affronter dans plusieurs domaines : connaissance biblique, histoire du mouvement JEA, culture générale et art oratoire.
Fait marquant : les filles se sont particulièrement distinguées, occupant les cinq premières places du classement général. « Elles ont obtenu les meilleures moyennes et sont capables de nous représenter au niveau international », s’est réjoui le président du jury. Le district de Walia s’est imposé en tête avec une moyenne de 15,05, contre 12,46 pour les garçons du district B.
Le concours a également permis de mettre en lumière de brillants orateurs, notamment Nonkarlem Merveille et Koumakang Eric, tous deux issus du district de Walia.
Pour les organisateurs, cette première édition n’est qu’un début. D’autres éditions sont prévues, avec une ambition d’extension à l’échelle nationale, a annoncé Amane Manany Airvault, représentant de la surveillance de la JEA à N’Djamena. Il promet « un projet réfléchi pour inspirer les générations futures ».
Fait marquant : les filles se sont particulièrement distinguées, occupant les cinq premières places du classement général. « Elles ont obtenu les meilleures moyennes et sont capables de nous représenter au niveau international », s’est réjoui le président du jury. Le district de Walia s’est imposé en tête avec une moyenne de 15,05, contre 12,46 pour les garçons du district B.
Le concours a également permis de mettre en lumière de brillants orateurs, notamment Nonkarlem Merveille et Koumakang Eric, tous deux issus du district de Walia.
Pour les organisateurs, cette première édition n’est qu’un début. D’autres éditions sont prévues, avec une ambition d’extension à l’échelle nationale, a annoncé Amane Manany Airvault, représentant de la surveillance de la JEA à N’Djamena. Il promet « un projet réfléchi pour inspirer les générations futures ».