La représentante adjointe de l'UNFPA au Tchad, Élise Kakam, a ouvert l'atelier en saluant les efforts du gouvernement. Elle a réaffirmé le soutien continu de l'UNFPA aux initiatives du gouvernement. Elle a noté que la prévalence contraceptive moderne, qui était de 5 % en 2015, a atteint 7 % selon l'EDS/MICS 2019, ce qui représente un progrès de deux points en quatre ans. Cependant, cette faible prévalence est due à des difficultés d'accès aux services de planification familiale et à des problèmes d'approvisionnement.
La directrice générale de la coopération, de la planification et de l'information sanitaire, Dr Narrasem Mbaidoum, a souligné l'engagement du Tchad à assurer un accès universel aux méthodes de planification familiale. Elle a insisté sur l'importance de rendre les produits contraceptifs accessibles aux femmes en âge de procréer. Elle a également déclaré que cet atelier permettrait à tous les acteurs impliqués de mieux gérer les besoins, l'approvisionnement, le stockage et la distribution des produits de santé reproductive.
Cet atelier représente une étape cruciale dans la lutte pour améliorer la santé reproductive au Tchad, en réunissant les acteurs clés pour trouver des solutions durables aux défis persistants.
La directrice générale de la coopération, de la planification et de l'information sanitaire, Dr Narrasem Mbaidoum, a souligné l'engagement du Tchad à assurer un accès universel aux méthodes de planification familiale. Elle a insisté sur l'importance de rendre les produits contraceptifs accessibles aux femmes en âge de procréer. Elle a également déclaré que cet atelier permettrait à tous les acteurs impliqués de mieux gérer les besoins, l'approvisionnement, le stockage et la distribution des produits de santé reproductive.
Cet atelier représente une étape cruciale dans la lutte pour améliorer la santé reproductive au Tchad, en réunissant les acteurs clés pour trouver des solutions durables aux défis persistants.