Cette formation vise à rappeler aux journalistes leurs responsabilités sociales. D'après les organisateurs, les professionnels des médias doivent s'en tenir au respect de leur code d'éthique et de déontologie.
« Nous vivons dans une période où l'information circule à une vitesse vertigineuse et où les fausses nouvelles peuvent se propager très rapidement. En période électorale, ces défis sont encore plus prononcés. C'est pourquoi il est primordial que nous, journalistes, soyons bien outillés pour remplir notre tâche avec responsabilité et intégrité », a souligné le Président de l'Union des Journalistes Tchadiens, Abbas Mahamat Tahir.
Le représentant de la Haute Autorité des Médias et de l'Audiovisuel, Ali Mahamat Mbodou, a rappelé à cette occasion que "la liberté d'expression est un droit humain fondamental dont l'exercice est garanti ici au Tchad conformément à nos législations et nos engagements internationaux". Il a ajouté : "C'est pourquoi les journalistes doivent exercer leur métier sans menaces ni contraintes."
L'atelier a été lancé par le préfet du département de Lac-Wey, Ahmed Oumarou Djibrilla, qui a déclaré : « La lutte contre les discours de haine et la violence en période électorale est un combat quotidien qui nécessite l'engagement de tous les journalistes épris de paix. » Il a invité les participants à faire preuve d'assiduité afin de tirer le maximum de profit de ces deux jours de formation.
Cet atelier est rendu possible par l'UJT grâce au soutien financier du Haut Commissariat aux Droits de l'Homme.
« Nous vivons dans une période où l'information circule à une vitesse vertigineuse et où les fausses nouvelles peuvent se propager très rapidement. En période électorale, ces défis sont encore plus prononcés. C'est pourquoi il est primordial que nous, journalistes, soyons bien outillés pour remplir notre tâche avec responsabilité et intégrité », a souligné le Président de l'Union des Journalistes Tchadiens, Abbas Mahamat Tahir.
Le représentant de la Haute Autorité des Médias et de l'Audiovisuel, Ali Mahamat Mbodou, a rappelé à cette occasion que "la liberté d'expression est un droit humain fondamental dont l'exercice est garanti ici au Tchad conformément à nos législations et nos engagements internationaux". Il a ajouté : "C'est pourquoi les journalistes doivent exercer leur métier sans menaces ni contraintes."
L'atelier a été lancé par le préfet du département de Lac-Wey, Ahmed Oumarou Djibrilla, qui a déclaré : « La lutte contre les discours de haine et la violence en période électorale est un combat quotidien qui nécessite l'engagement de tous les journalistes épris de paix. » Il a invité les participants à faire preuve d'assiduité afin de tirer le maximum de profit de ces deux jours de formation.
Cet atelier est rendu possible par l'UJT grâce au soutien financier du Haut Commissariat aux Droits de l'Homme.