La Coalition Wakit Tamma dénonce fermement les récentes mesures gouvernementales au Tchad, notamment l’arrêté conjoint n°007/PT/PM/MIC/MFB/SG/2024 fixant les prix de vente des produits pétroliers et les décrets relatifs à l’urgence alimentaire et nutritionnelle, qui ont significativement contribué à l'augmentation du coût de la vie.
Ces décisions, jugées irresponsables et sans fondement par la coalition, aggravent la situation économique déjà précaire de la population, tout en restreignant les libertés civiles et politiques à travers diverses ordonnances, indique Soumaine Adoum, porte-parole de la coordination.
Malgré une récente détaxe des produits alimentaires de première nécessité par le Premier Ministre de Transition, l’exclusion des produits importés essentiels tels que l'huile et le sucre et l'augmentation des prix des carburants vont à l'encontre des efforts de soulagement économique et risquent d'appauvrir davantage la population.
Face à cette situation, Wakit Tamma appelle la population à rejeter ces mesures et à résister aux conséquences d'une mauvaise gouvernance. La coalition se réserve le droit de manifester et appelle à la vigilance, insistant sur le droit inaliénable à des moyens de subsistance dignes, selon Soumaine Adoum, porte-parole de la coordination.
Ces décisions, jugées irresponsables et sans fondement par la coalition, aggravent la situation économique déjà précaire de la population, tout en restreignant les libertés civiles et politiques à travers diverses ordonnances, indique Soumaine Adoum, porte-parole de la coordination.
Malgré une récente détaxe des produits alimentaires de première nécessité par le Premier Ministre de Transition, l’exclusion des produits importés essentiels tels que l'huile et le sucre et l'augmentation des prix des carburants vont à l'encontre des efforts de soulagement économique et risquent d'appauvrir davantage la population.
Face à cette situation, Wakit Tamma appelle la population à rejeter ces mesures et à résister aux conséquences d'une mauvaise gouvernance. La coalition se réserve le droit de manifester et appelle à la vigilance, insistant sur le droit inaliénable à des moyens de subsistance dignes, selon Soumaine Adoum, porte-parole de la coordination.