
Dame Yvette, habitante d'une ville du pays, a récemment acheté une motocyclette pour ses déplacements. Malheureusement, au cours d’une sortie avec ses amies, Yvette s’est fait voler son engin.
Malgré l’alerte donnée aux services de police, toutes les recherches n'ont rien donné, laissant la bonne dame dans le désespoir. Un soir, alors qu’elle était sortie pour ses courses habituelles, elle remarqua une moto semblable à la sienne. Elle suivit les traces qui la conduisirent vers le voleur.
Aussitôt, elle alerta la police qui dépêcha une équipe d’intervention, pour appréhender le présumé voleur. Au commissariat, le voleur reconnut les faits qui lui étaient reprochés. Il proposa alors de rembourser la moto, à hauteur de 450 000 francs, mais en plusieurs tranches.
Ce que dame Yvette accepta. Elle devait passer, selon chaque échéance, au commissariat de police auprès de l’agent en charge du dossier pour récupérer la somme versée. L’accusé de vol tint sa parole et commença à verser l’argent comme prévu. Il effectua plusieurs versements et la somme atteignit 250 000 francs.
Cependant, chaque fois que la plaignante passait pour encaisser l’argent, l’agent de police lui faisait croire que le monsieur n’avait rien versé, et la femme repartait bredouille. Cela dura ainsi pendant plusieurs mois. Fatiguée d’attendre, dame Yvette décida de recourir aux autorités judiciaires, pour faire arrêter son voleur.
Conduit devant le procureur de la République, le voleur avoua qu’il avait respecté son engagement et versé la somme de 250 000 francs au policier. Le procureur fit donc appel au policier en question, et celui-ci reconnut avoir encaissé la somme en question, mais l’avoir utilisée.
Furieux, le procureur ordonna de déposer le policier à la maison d’arrêt pour faute lourde. À ce moment, le policier s’agenouilla et supplia de lui laisser quelques jours pour rembourser à dame Yvette son argent. Le procureur lui donna trois jours pour rembourser la somme détournée. Cette affaire met en lumière le comportement de certains agents qui abusent de leur autorité pour détourner les biens de citoyens plaignants, qui ne savent à quel saint se vouer.
Malgré l’alerte donnée aux services de police, toutes les recherches n'ont rien donné, laissant la bonne dame dans le désespoir. Un soir, alors qu’elle était sortie pour ses courses habituelles, elle remarqua une moto semblable à la sienne. Elle suivit les traces qui la conduisirent vers le voleur.
Aussitôt, elle alerta la police qui dépêcha une équipe d’intervention, pour appréhender le présumé voleur. Au commissariat, le voleur reconnut les faits qui lui étaient reprochés. Il proposa alors de rembourser la moto, à hauteur de 450 000 francs, mais en plusieurs tranches.
Ce que dame Yvette accepta. Elle devait passer, selon chaque échéance, au commissariat de police auprès de l’agent en charge du dossier pour récupérer la somme versée. L’accusé de vol tint sa parole et commença à verser l’argent comme prévu. Il effectua plusieurs versements et la somme atteignit 250 000 francs.
Cependant, chaque fois que la plaignante passait pour encaisser l’argent, l’agent de police lui faisait croire que le monsieur n’avait rien versé, et la femme repartait bredouille. Cela dura ainsi pendant plusieurs mois. Fatiguée d’attendre, dame Yvette décida de recourir aux autorités judiciaires, pour faire arrêter son voleur.
Conduit devant le procureur de la République, le voleur avoua qu’il avait respecté son engagement et versé la somme de 250 000 francs au policier. Le procureur fit donc appel au policier en question, et celui-ci reconnut avoir encaissé la somme en question, mais l’avoir utilisée.
Furieux, le procureur ordonna de déposer le policier à la maison d’arrêt pour faute lourde. À ce moment, le policier s’agenouilla et supplia de lui laisser quelques jours pour rembourser à dame Yvette son argent. Le procureur lui donna trois jours pour rembourser la somme détournée. Cette affaire met en lumière le comportement de certains agents qui abusent de leur autorité pour détourner les biens de citoyens plaignants, qui ne savent à quel saint se vouer.