Victime des actions humaines et des effets climatiques, la forêt de Koutou située à l’entrée de la ville de Moundou, chef-lieu de la province du Logone occidental, menace de disparaitre. Les acteurs de protection de l’environnement sont à pied d’œuvre pour sa restauration.
C’est ainsi que l’ONG Initiative-Développement (ID), à travers les organisations de la société civile, a procédé le 14 juillet 2024, à la mise à terre de plus de 400 plants dans cette forêt, pour la couverture végétale.
« C’est une initiative qui a commencé depuis mai 2022, et aujourd’hui, nous réalisons cette activité grâce au Projet Résilience-Société-Territoire. Le but est d’aider les communautés à la restauration des forêts et les amener à prendre conscience de la disparition de celle de Moundou. C’est pour cette raison qu’après une concertation avec les acteurs de développement, ID a jugé utile de soutenir les OSC dans la production des plants, et leur mise à terre », a indiqué le chargé d’accompagnement à la mobilisation du ID, Mbaibelyoel Etienne.
Pour le chef de service juridique de la Coopération Décentralisée et du Développement, Djimrabeye Richard, « cette forêt est un bien commun qui est en train de disparaitre à cause de l’ignorance de la population. Grâce à elle, précise-t-il, nous avons de l’ombre, nous avons le remède, nous avons de la pluie, nous avons de la nourriture. Donc, sans le savoir, si nous la détruisons, nous nous détruisons nous-mêmes ».
Il rassure que dans un futur proche, des dispositions seront prises pour récupérer les espaces morcelés pour l’agriculture et les habitations. Le président de l’autorité intérimaire s’est fait représenter au lancement par son directeur de cabinet, MBaiornom Béramgoto. Celui-ci a apprécié l’initiative à sa juste valeur. Il ajoute « qu’il ne suffit pas de mettre à terre des plants, pour restaurer une forêt, il faut surtout les protéger.
C’est pour cette raison que l’autorité communale déploiera, dans les jours à venir, des agents de sécurité pour surveiller de près cette forêt ». Le représentant de l’autorité communale a prévenu que tous ceux qui seront pris en flagrant délit, seront conduits devant la justice où ils répondront de leurs actes devant la loi.
C’est ainsi que l’ONG Initiative-Développement (ID), à travers les organisations de la société civile, a procédé le 14 juillet 2024, à la mise à terre de plus de 400 plants dans cette forêt, pour la couverture végétale.
« C’est une initiative qui a commencé depuis mai 2022, et aujourd’hui, nous réalisons cette activité grâce au Projet Résilience-Société-Territoire. Le but est d’aider les communautés à la restauration des forêts et les amener à prendre conscience de la disparition de celle de Moundou. C’est pour cette raison qu’après une concertation avec les acteurs de développement, ID a jugé utile de soutenir les OSC dans la production des plants, et leur mise à terre », a indiqué le chargé d’accompagnement à la mobilisation du ID, Mbaibelyoel Etienne.
Pour le chef de service juridique de la Coopération Décentralisée et du Développement, Djimrabeye Richard, « cette forêt est un bien commun qui est en train de disparaitre à cause de l’ignorance de la population. Grâce à elle, précise-t-il, nous avons de l’ombre, nous avons le remède, nous avons de la pluie, nous avons de la nourriture. Donc, sans le savoir, si nous la détruisons, nous nous détruisons nous-mêmes ».
Il rassure que dans un futur proche, des dispositions seront prises pour récupérer les espaces morcelés pour l’agriculture et les habitations. Le président de l’autorité intérimaire s’est fait représenter au lancement par son directeur de cabinet, MBaiornom Béramgoto. Celui-ci a apprécié l’initiative à sa juste valeur. Il ajoute « qu’il ne suffit pas de mettre à terre des plants, pour restaurer une forêt, il faut surtout les protéger.
C’est pour cette raison que l’autorité communale déploiera, dans les jours à venir, des agents de sécurité pour surveiller de près cette forêt ». Le représentant de l’autorité communale a prévenu que tous ceux qui seront pris en flagrant délit, seront conduits devant la justice où ils répondront de leurs actes devant la loi.