Au Tchad, la demande en moutons augmente fortement, quelques semaines avant la fête de la Tabaski, qui se déroule en début juin.
Cela entraîne généralement une hausse importante des prix des moutons à cette période de l'année. En 2024, les prix des moutons ont commencé à grimper dès le mois de juin dans de nombreuses régions telles que Batha, Am-Timan, et Bokoro.
Selon les données disponibles en août 2023, on s'attendait à ce que les prix soient 20 à 50% plus élevés qu'une année normale, à l'approche de la Tabaski 2024. Cette hausse s'explique par la forte demande liée aux célébrations de la fête, mais aussi par des facteurs comme la rareté de l'offre dans certaines zones, suite à des épisodes de sécheresse ou de maladie du bétail les mois précédents.
Les autorités et organisations agricoles ont mis en place des mesures pour essayer de réguler les prix, et faciliter l'accès aux moutons pour les ménages à faible revenu. Mais la tension sur l'offre reste difficile à maîtriser complètement lors de cette période de forte demande.
L'objectif est d'agir à la fois sur l'offre et la demande, pour stabiliser les prix autour d'un niveau raisonnable, tout en maintenant des revenus décents pour les éleveurs. Le gouvernement restera attentif à l'évolution de la situation, et ajustera ces mesures, si cela est nécessaire dans les mois à venir.
Malgré ces défis, les autorités poursuivent leurs efforts pour limiter au maximum la flambée des prix, en s'attaquant à ces différents goulots d'étranglement. Mais le contrôle des prix reste un casse-tête récurrent à chaque Tabaski.
Cela entraîne généralement une hausse importante des prix des moutons à cette période de l'année. En 2024, les prix des moutons ont commencé à grimper dès le mois de juin dans de nombreuses régions telles que Batha, Am-Timan, et Bokoro.
Selon les données disponibles en août 2023, on s'attendait à ce que les prix soient 20 à 50% plus élevés qu'une année normale, à l'approche de la Tabaski 2024. Cette hausse s'explique par la forte demande liée aux célébrations de la fête, mais aussi par des facteurs comme la rareté de l'offre dans certaines zones, suite à des épisodes de sécheresse ou de maladie du bétail les mois précédents.
Les autorités et organisations agricoles ont mis en place des mesures pour essayer de réguler les prix, et faciliter l'accès aux moutons pour les ménages à faible revenu. Mais la tension sur l'offre reste difficile à maîtriser complètement lors de cette période de forte demande.
L'objectif est d'agir à la fois sur l'offre et la demande, pour stabiliser les prix autour d'un niveau raisonnable, tout en maintenant des revenus décents pour les éleveurs. Le gouvernement restera attentif à l'évolution de la situation, et ajustera ces mesures, si cela est nécessaire dans les mois à venir.
Malgré ces défis, les autorités poursuivent leurs efforts pour limiter au maximum la flambée des prix, en s'attaquant à ces différents goulots d'étranglement. Mais le contrôle des prix reste un casse-tête récurrent à chaque Tabaski.