Le gouverneur de la province du Moyen-Chari, Ousmane Brahim Djouma, accompagné d’une forte délégation, s’est rendu le 16 novembre 2022 au village Koutou pour régler un conflit foncier qui oppose le canton Niellim au canton Djoli.
L’objectif de ce déplacement est de se rendre compte personnellement de ce litige foncier qui, selon les témoignages, date de plus d’une décennie.
Mais aussi et surtout, de délivrer un message de paix et du vivre ensemble à la population du village Koutou. Ramadane Djarsia, et Ousmane Brahim Guémè respectivement préfet du département de Bar-Kôh et sous-préfet de Balimba, se disent rassurés que la présence du gouverneur enlèvera l’épine de leur pied, car c’est un problème qui a tant duré.
A cette occasion, le gouverneur Ousmane Brahim Djouma, a demandé aux deux chefs de cantons d’être claires afin que ce problème soit définitivement résolu d’une manière pacifique. Car pour lui, personne n’est au-dessus de la loi. Le chef de canton de Niellim, Moctar Kiram, et celui de Djoli, Nadji Todjinangar, ont souligné que l’origine de ce conflit n’est autre que la revendication de 17 villages.
Ayant bien cerné l’origine du problème, le gouverneur de la province du Moyen-Chari a demandé aux différents chefs de village de se pardonner, tout en se serrant la main, signe de paix et d’amour.
L’objectif de ce déplacement est de se rendre compte personnellement de ce litige foncier qui, selon les témoignages, date de plus d’une décennie.
Mais aussi et surtout, de délivrer un message de paix et du vivre ensemble à la population du village Koutou. Ramadane Djarsia, et Ousmane Brahim Guémè respectivement préfet du département de Bar-Kôh et sous-préfet de Balimba, se disent rassurés que la présence du gouverneur enlèvera l’épine de leur pied, car c’est un problème qui a tant duré.
A cette occasion, le gouverneur Ousmane Brahim Djouma, a demandé aux deux chefs de cantons d’être claires afin que ce problème soit définitivement résolu d’une manière pacifique. Car pour lui, personne n’est au-dessus de la loi. Le chef de canton de Niellim, Moctar Kiram, et celui de Djoli, Nadji Todjinangar, ont souligné que l’origine de ce conflit n’est autre que la revendication de 17 villages.
Ayant bien cerné l’origine du problème, le gouverneur de la province du Moyen-Chari a demandé aux différents chefs de village de se pardonner, tout en se serrant la main, signe de paix et d’amour.