Des milliers d'enfants errent dans les rues de nos villes, privés de l'éducation que leurs pairs reçoivent. Cette réalité représente une perte de capital humain considérable, et présente un danger pour l'avenir de notre nation.
Malheureusement, nos autorités semblent regarder ailleurs. Le phénomène des enfants de la rue n'est pas nouveau, et ses causes sont bien connues : ces enfants ont des familles. Pourtant, l'éducation et l'insertion de ces jeunes restent un défi de taille.
Le plus préoccupant est l'absence totale de centres de rééducation et de réhabilitation pour ces enfants. De plus, la politique éducative et l'insertion dans la vie active font cruellement défaut. Le gouvernement a récemment adopté une initiative visant à éradiquer la mendicité infantile, mais cette lutte doit également s'attacher à résoudre le problème des enfants de la rue.
Néanmoins, N'Djamena dispose d'un Centre National d'Accueil, de Rééducation et d'Insertion des Enfants Vulnérables (CNARREV), sous l'égide du ministère de la Femme et de la Protection de l'enfance. Malheureusement, ce centre n'est que de nom, et les associations de la société civile, à l’exemple du Centre Akouna Espoir, luttent pour l'éducation et l'insertion de ces enfants avec des ressources limitées.
Pourtant, malgré la rentrée scolaire, des centaines d'enfants continuent de vivre dans les rues de nos villes. Il est impératif que nos autorités quittent leurs bureaux pour affronter cette réalité. L'éducation de ces enfants doit être une priorité, car ils représentent un atout pour le développement du pays. De plus, le manque de chiffres officiels, sur le nombre d'enfants des rues, révèle l'inadéquation de notre politique de protection des enfants vulnérables.
Le défunt président gabonais, Omar Bongo, disait : « Le peuple est mon miroir. Quand je les vois sourire, c'est que le pays va bien ». Or, des centaines d'enfants vivent dans des conditions inhumaines, sans accès à une alimentation saine, exposés aux intempéries, sous le regard des autorités qui ont la responsabilité de les protéger. Nous posons donc cette question aux autorités chargées de la protection des enfants vulnérables : quelle est votre mission ?
Dans une ère de « refondation du Tchad », la politique éducative des enfants des rues ne doit pas être négligée. Ces enfants constituent une perte de capital humain, et leur négligence représente un danger pour notre société si nous continuons à ignorer leur existence. Un enfant qui grandit sans culture, loin de l'amour parental, est à craindre.
Par conséquent, leur éducation doit être une priorité afin de changer leur trajectoire. La société de demain en dépend.
Malheureusement, nos autorités semblent regarder ailleurs. Le phénomène des enfants de la rue n'est pas nouveau, et ses causes sont bien connues : ces enfants ont des familles. Pourtant, l'éducation et l'insertion de ces jeunes restent un défi de taille.
Le plus préoccupant est l'absence totale de centres de rééducation et de réhabilitation pour ces enfants. De plus, la politique éducative et l'insertion dans la vie active font cruellement défaut. Le gouvernement a récemment adopté une initiative visant à éradiquer la mendicité infantile, mais cette lutte doit également s'attacher à résoudre le problème des enfants de la rue.
Néanmoins, N'Djamena dispose d'un Centre National d'Accueil, de Rééducation et d'Insertion des Enfants Vulnérables (CNARREV), sous l'égide du ministère de la Femme et de la Protection de l'enfance. Malheureusement, ce centre n'est que de nom, et les associations de la société civile, à l’exemple du Centre Akouna Espoir, luttent pour l'éducation et l'insertion de ces enfants avec des ressources limitées.
Pourtant, malgré la rentrée scolaire, des centaines d'enfants continuent de vivre dans les rues de nos villes. Il est impératif que nos autorités quittent leurs bureaux pour affronter cette réalité. L'éducation de ces enfants doit être une priorité, car ils représentent un atout pour le développement du pays. De plus, le manque de chiffres officiels, sur le nombre d'enfants des rues, révèle l'inadéquation de notre politique de protection des enfants vulnérables.
Le défunt président gabonais, Omar Bongo, disait : « Le peuple est mon miroir. Quand je les vois sourire, c'est que le pays va bien ». Or, des centaines d'enfants vivent dans des conditions inhumaines, sans accès à une alimentation saine, exposés aux intempéries, sous le regard des autorités qui ont la responsabilité de les protéger. Nous posons donc cette question aux autorités chargées de la protection des enfants vulnérables : quelle est votre mission ?
Dans une ère de « refondation du Tchad », la politique éducative des enfants des rues ne doit pas être négligée. Ces enfants constituent une perte de capital humain, et leur négligence représente un danger pour notre société si nous continuons à ignorer leur existence. Un enfant qui grandit sans culture, loin de l'amour parental, est à craindre.
Par conséquent, leur éducation doit être une priorité afin de changer leur trajectoire. La société de demain en dépend.