Le président de la République Mahamat Idriss Deby Itno a présidé ce 30 juillet, une réunion de suivi-évaluation consacrée au chantier n°9 de son programme politique, dédié à l’industrialisation du secteur de l’élevage.
Le Tchad est assis sur un trésor. Son cheptel est estimé à plus de 156 millions de têtes (hors volailles), ce qui en fait l’un des plus importants d’Afrique. Pourtant, ce potentiel peine à se transformer en richesse nationale.
Ce constat est fait par le président de la République, chef de l’État, Maréchal Mahamat Idriss Deby Itno, qui, à travers le chantier numéro 9 de son programme politique, ambitionne une transformation structurelle dudit secteur. Il s’agit pour le chef de l’État, d’industrialiser l’élevage pour garantir l’autosuffisance alimentaire et créer des emplois durables.
Après plus d’une année d’exécution de ce chantier, il a convié ce mercredi, 30 juillet au palais Toumaï, ministre, techniciens du domaine et ses proches collaborateurs pour un suivi-évaluation. Il ressort du rapport présenté par le ministre en charge de l’Élevage, Pr Abdérahim Awat Atteib, un taux d’avancement de 47% de différentes sous-actions et plusieurs obstacles qui entravent la bonne exécution de ce chantier.
Face à ce constat, le président de la République a recadré la démarche. Pour lui, l’élevage n’est pas seulement une activité économique, mais un mode de vie, un pilier identitaire et un levier de souveraineté alimentaire. Chemin faisant, il a donné une série d’orientations stratégiques.
Entre autres, accroître la productivité, renforcer la santé animale, valoriser les produits de l’élevage, former les éleveurs aux innovations et aux bonnes pratiques, investir dans les infrastructures structurantes, promouvoir l’agro-industrie et attirer les investisseurs nationaux et étrangers.
Des instructions bien notées par le ministre de l’Élevage, qui promet une exécution immédiate. Il convient de souligner que l’élevage représente 53% du PIB et fait vivre 40% de la population rurale.
Le Tchad est assis sur un trésor. Son cheptel est estimé à plus de 156 millions de têtes (hors volailles), ce qui en fait l’un des plus importants d’Afrique. Pourtant, ce potentiel peine à se transformer en richesse nationale.
Ce constat est fait par le président de la République, chef de l’État, Maréchal Mahamat Idriss Deby Itno, qui, à travers le chantier numéro 9 de son programme politique, ambitionne une transformation structurelle dudit secteur. Il s’agit pour le chef de l’État, d’industrialiser l’élevage pour garantir l’autosuffisance alimentaire et créer des emplois durables.
Après plus d’une année d’exécution de ce chantier, il a convié ce mercredi, 30 juillet au palais Toumaï, ministre, techniciens du domaine et ses proches collaborateurs pour un suivi-évaluation. Il ressort du rapport présenté par le ministre en charge de l’Élevage, Pr Abdérahim Awat Atteib, un taux d’avancement de 47% de différentes sous-actions et plusieurs obstacles qui entravent la bonne exécution de ce chantier.
Face à ce constat, le président de la République a recadré la démarche. Pour lui, l’élevage n’est pas seulement une activité économique, mais un mode de vie, un pilier identitaire et un levier de souveraineté alimentaire. Chemin faisant, il a donné une série d’orientations stratégiques.
Entre autres, accroître la productivité, renforcer la santé animale, valoriser les produits de l’élevage, former les éleveurs aux innovations et aux bonnes pratiques, investir dans les infrastructures structurantes, promouvoir l’agro-industrie et attirer les investisseurs nationaux et étrangers.
Des instructions bien notées par le ministre de l’Élevage, qui promet une exécution immédiate. Il convient de souligner que l’élevage représente 53% du PIB et fait vivre 40% de la population rurale.